Cheap Trick, Cheap Trick (Epic)

1977, en pleine vague punk, sort le premier album de Cheap Trick, formation américaine de Rockford dans l’Illinois. Disque inclassable, il figure parmi les jalons de la powerpop mais n’en épouse cependant pas tout à fait les contours. Dès la pochette, le groupe exprime cette ambiguïté, la difficulté de les classer avec précision. Au centre, … Continuer la lecture de « Cheap Trick, Cheap Trick (Epic) »

Selectorama : Lovers Suicide

C’est l’histoire d’un jeune homme qui choisit de quitter son Marseille natal, après avoir fait ses gammes avec Quetzal Snakes, un groupe garage psych, pour aller tenter sa chance outre-Atlantique à Montréal. A son arrivée, Alex réactive Deaf, une formation de noise rock avec laquelle il a pu ouvrir pour des groupes tels que Metz … Continuer la lecture de « Selectorama : Lovers Suicide »

Pulp, Different Class (Island, 1995)

Trop de gens l’ignorent, mais la britpop, terme aussi galvaudé que le Cool Britannia de Tony Blair, serait née à Paris, et plus précisément à la Cigale, un soir d’octobre 1991. Ce n’est pas moi qui l’affirme mais Russell Senior, le violoniste visionnaire de Pulp qui l’écrit dans sa savoureuse autobiographie Freak Out the Squares : … Continuer la lecture de « Pulp, Different Class (Island, 1995) »

The Creation, les EP français (Cameleon Records)

Les années soixante furent une période très compétitive pour les groupes de rock britannique. Peu nombreux furent les élus, ceux capables d’atteindre les cimes du classement. Vingt ans plus tard, les passionnés redécouvrirent de nombreuses et valeureuses formations, à l’ombre des têtes d’affiche de l’époque (The Beatles, Kinks, Who, Stones, Small Faces…). The Creation fit … Continuer la lecture de « The Creation, les EP français (Cameleon Records) »

Pictures On My Wall : Joe Dilworth

C’était à Londres, un jour de peu de soleil, à la toute fin de l’hiver ou au début du printemps. Je me rappelle d’ailleurs la promenade le long des canaux de Camden Town, le sous-sol du magasin de disques à quelques mètres du métro, le verre au Good Mixer, dont les dorures avaient déjà passé, … Continuer la lecture de « Pictures On My Wall : Joe Dilworth »