Franz Ferdinand, darts entertainment !

Je me souviens du choc. Un matin d’automne avec les rues encore noires, à l’époque parisienne où la cigarette précédait le plus souvent le café, à l’époque de la télé qu’on allumait parce que M6 (je crois que bien que c’était M6) diffusait des clips de groupes indie – enfin, à peu près – avant … Continuer la lecture de « Franz Ferdinand, darts entertainment ! »

Climats #1 : Adrien Bosc, JD Beauvallet, David Loca

This could be the saddest dusk ever seen You turn to a miracle high-alive Michael Stipe Peut-on écouter Vauxhall and I de Morrissey sous le franc soleil de juillet ? Et un Antônio Carlos Jobim empêtré dans un crachin de février, c’est toujours du Antônio Carlos Jobim ? Climats met en avant les sorties disques … Continuer la lecture de « Climats #1 : Adrien Bosc, JD Beauvallet, David Loca »

Selectorama : Bobby Would

En janvier dernier, les lecteurs de Section 26 avaient pu se délecter – en avant-première -, de deux excellents titres extraits du deuxième album de Bobby Would, World Wide World (sorti sur le label Low Company). Il ne fait désormais aucun doute que ce disque captivant restera parmi les plus réussis de l’année 2021. Avec … Continuer la lecture de « Selectorama : Bobby Would »

Gamine, Voilà les anges (Barclay, 1988)

C’est fou comme certains disques sont liés à une époque, à un lieu, à une image, même si on les a écoutés longtemps après toutes ces scènes-là, même si on les écoute encore aujourd’hui – pour preuve, ma fille reconnait le groupe dès les premiers accords de cette chanson parfaite qu’est Les Gens sont Si … Continuer la lecture de « Gamine, Voilà les anges (Barclay, 1988) »

Spearmint, A Week Away (hitBACK, 1999)

Le premier contact avec ce disque est une phrase. “Ça devrait te plaire”, m’avait prévenu mon ami Nicolas P. en me tendant le CD – et quand je repense à cet emploi du conditionnel, je ne peux m’empêcher de sourire. Je me souviens bien de ces mots-là, et pourtant, je ne me souviens pas de … Continuer la lecture de « Spearmint, A Week Away (hitBACK, 1999) »

Selectorama : Christophe Conte

A la parution du premier tome de l’Anti discothèque idéale en 2015, Christophe Conte, qui doit probablement me surestimer un chouia, m’avait gentiment confié que j’y ferais peut être éventuellement 2/3 découvertes. Comprendre que notre attachement aux causes perdues longtemps introuvables était parfois discordant mais pour l’essentiel, similaire. Et de Sagittarius à Linda Perhacs en … Continuer la lecture de « Selectorama : Christophe Conte »