The Strokes – New York City Boys (2001)

Cet été, on fête les vingt ans d’un disque qui a compté pour bon nombre d’entre nous, Is This It des Strokes, premier album des new-yorkais sorti chez Rough Trade quelques mois après leur Debut EP, The Modern Age. Ce disque précurseur du renouveau rock au début des années 2000 a durablement marqué les esprits, … Continuer la lecture de « The Strokes – New York City Boys (2001) »

Ce qu’il faut savoir sur Felt pour épater la galerie

• Le nom de Felt a été inspiré à Lawrence par le morceau Venus, présent sur le premier album de Television, Marquee Moon (1977). • Pas évident de prime abord, il existe un point commun entre tous les titres des albums originaux, la présence de l’article “the” : une volonté de Lawrence. • Au départ, … Continuer la lecture de « Ce qu’il faut savoir sur Felt pour épater la galerie »

Selectorama : Philippe François

Le rapport de chacun à la foi est une affaire individuelle, elle se niche parfois dans les circonvolutions les plus intimes. Vous pouvez d’ailleurs n’en revendiquer absolument aucune, personne ici ne s’en formalisera. Même si je fuis les papistes comme le virus, jamais je n’irais m’abandonner au moindre prosélytisme pour mettre en avant la religion … Continuer la lecture de « Selectorama : Philippe François »

David Costa (Trees) – Vieilles Branches

Deux petits tours et puis s’en vont. L’éphémère parcours de Trees au sein de la scène folk britannique au tout début des années 1970, est de ceux qui se prêtent le plus aisément aux plaisirs de la redécouverte. Comme souvent dans ces cas-là, quand l’intérêt rétrospectif est inversement proportionnel aux retentissements initiaux, il faut commencer … Continuer la lecture de « David Costa (Trees) – Vieilles Branches »

#19 : Eyeless In Gaza, Others (Cherry Red, 1981)

Que deviennent les autres, proches comme ennemis, quand tu ne les vois plus ? Peut-on tendre à une certaine plénitude en se laissant socialement distancer ? L’altérité est-elle soluble dans le confinement ? Vous avez deux heures.

Andrea Laszlo de Simone, Immensità (42 Records)

Échappant plutôt par le haut au narratif du renouveau de la pop italienne coincé entre San Remo et Sorrentino, Andrea Laszlo de Simone est suivi par quelques-uns de ce côté des Alpes depuis son Uomo Donna, album ample, gras et pourtant merveilleux qui s’imposait comme neuf malgré l’évidence de son ambition anachronique. Plutôt que de … Continuer la lecture de « Andrea Laszlo de Simone, Immensità (42 Records) »