Tony Wilson : « Qui dois-je imprimer alors, la vérité ou la légende? »

Il est une certitude. Détesté ou adulé, Anthony H. Wilson a changé le visage de la musique moderne. En créant un beau jour de 1978, avec une poignée d’autres illuminés, Factory Records. En « signant » Joy Division – devenu New Order – et Happy Mondays, mais aussi The Durutti Column et A Certain Ratio. En contribuant … Continuer la lecture de « Tony Wilson : « Qui dois-je imprimer alors, la vérité ou la légende? » »

Selectorama : Dead Famous People

  Les Néo-Zélandais de Dead Famous People viennent de sortir Harry, leur troisième album en plus de trente ans de carrière. Si le nom du groupe ne parlera sans doute qu’aux amoureux de pop moderne les plus pointus, le parcours de Dons Savage, unique rescapée du line-up d’origine, réveillera de vieux souvenirs. Dead Famous People … Continuer la lecture de « Selectorama : Dead Famous People »

The Durutti Column, LC (Factory Benelux, 1981)

C’est peu dire que si je l’ai découverte en été, la musique de Vini Reilly ne se savoure pleinement qu’à l’arrivée de l’automne, ses teintes de brou de noix s’accordant au mieux avec les premiers frimas. Et si l’exhumation de la chronique de cette réédition date de 2013, on ne saurait vous conseiller de scruter … Continuer la lecture de « The Durutti Column, LC (Factory Benelux, 1981) »

Richard Robert reprend “Just One Kiss” de The Cure (inédit)

Je ne sais plus quel artiste avait déclaré cela, mais c’était dans un vieux numéro des Inrockuptibles – la formule bimestrielle, je crois : pour résumer, il affirmait que les chansons réussies étaient celles que l’on pouvait jouer à l’aide d’une simple guitare acoustique, débarrassées des enluminures de la production, libérées des arrangements, toujours splendides … Continuer la lecture de « Richard Robert reprend “Just One Kiss” de The Cure (inédit) »

Le club du samedi soir #2 : Factory Lost Classics X2

En début de semaine, il n’était pas possible de passer sous silence le retentissant quarantième anniversaire de la disparition de Ian Curtis. Puis, au courant de la semaine, nous avions évoqué ce Factory All Stars qui s’inscrivait en parfaite illustration de ce qu’était l’écrin du label Factory, l’Haçienda, club légendaire s’il en est. Pour incarner … Continuer la lecture de « Le club du samedi soir #2 : Factory Lost Classics X2 »

The Factory All Stars

Hier, un message de Dave Haslam sur son compte Twitter rappelait que le 21 mai était le jour anniversaire de l’ouverture de La Haçienda, à quelques jours d’une autre célébration plus funeste, celle des quarante ans de la mort du chanteur de Joy Division. Au moment presque où nous tous sommes allés de notre hommage … Continuer la lecture de « The Factory All Stars »

#45+3 : Joy Division, Love Will Tear Us Apart vs. Girlschool, Nothing To Lose (Factory vs. Bronze, 1980)

« Le hard rock, c’est comme la Ligue Communiste Révolutionnaire. Ce qui est grave, ce n’est pas d’y passer, mais d’y rester. » (Anonyme, Congrès de l’Hay-les-Roses, novembre 1979) « She wears denim wherever she goes / Says she’s gonna get some records by the Status Quo / Oh yeah oh yeah » (Teenage Fanclub, The Concept, novembre 1991) … Continuer la lecture de « #45+3 : Joy Division, Love Will Tear Us Apart vs. Girlschool, Nothing To Lose (Factory vs. Bronze, 1980) »