C’est un calvaire, un Golgotha, un disque qu’il vaut mieux avoir sur la table qu’à l’esprit. Ce qu’un John Cale coupable en sourdine mais à peine, avait pris comme justificatif d’une déroute marchande annoncée.
« The Marble Index is an artefact, not a commodity.
You Can’t Sell Suicide. »
Cette image quand même, grand résumé parfait et moqueur de cette adolescence, la nôtre en adoration devant la figure d’un suicidé et la lente, patiente, archéologie de fait qui telle une enquête fantastique de Lovecraft nous ferait tracer les lignes de la connaissance rétrospective entre les Doors, l’incalculable Velvet Underground, et les inestimables Kraftwerk, puis Can, trois groupes qui ont eu beaucoup de mal à descendre de l’ignoble piédestal où nous les avons placés pour l’éternité au nom de notre idolâtrie puérile mais toujours vivace pour Joy Division.
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Dans un univers fait de mille éclats et oscillant entre urbanisme bitumé et terres fertiles, 

Depuis plus de 20 ans, le label SDZ records trace sa route au gré de sorties de qualité, et a su dénicher bon nombre de groupes :
Quatre ans après
En 1977, peu après la publication de
« Comme un voyage en avion,