Catégories billet d’humeur, playlistÉtiquettes , , , , , , , , , ,

Playlist d’été #4 : Après l’école

Dernière des quatre playlists d’été consacrée aux musiques noires : soul, funk, jazz ou disco, à travers une période vaste, depuis les soubresauts du Summer of Love (Sunny, Sittin’ on the Dock of the Bay, California Soul) jusqu’au début des 80’s (All Night Long, Risin’ on the Top, Remind Me…). Continuer la lecture de « Playlist d’été #4 : Après l’école »

Catégories dans les terres d’Écosse, playlistÉtiquettes , , , , , , , , , ,

Playlist d’été #3 / L’école écossaise

Continuer la lecture de « Playlist d’été #3 / L’école écossaise »

Catégories billet d’humeur, playlistÉtiquettes , ,

Playlist d’été #2 : La nouvelle école


Au départ, une vingtaine de disques que j’avais envie de défendre et faire découvrir. Les chansons me semblaient avoir toutes en commun une certaine douceur de vivre, idéales pour l’été et la chaleur ambiante. Au final, avec l’aide des excellentes propositions de quelques camarades de Section 26 (Coralie Gardet et Thibaut Morinière), ainsi que d’Etienne Gimenez et Benjamin Vanhove, il y a cinquante groupes différents, qui tous tracent à leur manière les contours de notre époque. La pop indépendante actuelle mérite certainement que l’on s’y penche : à défaut de créer des nouveaux genres, elle contribue à en décloisonner et créer un syncrétisme propre à notre époque, unique en son genre. Continuer la lecture de « Playlist d’été #2 : La nouvelle école »

Catégories billet d’humeur, playlistÉtiquettes , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Playlist d’été #1 : L’école des femmes

“Sans raison valable – je crois –, l’été m’a toujours semblé une saison mélancolique – la douceur des soirées, peut-être ? Sans raison valable, les voix féminines m’ont toujours semblé plus mélancoliques que celles de leurs homologues masculins – la douceur du timbre, peut-être ? Alors, j’ai imaginé la bande son – plus ou moins originale – qui pourrait accompagner n’importe quel songe d’une nuit d’été. Les miens, en tout cas. Et les vôtres aussi, peut-être”.