La dance music se prête historiquement mal au format album. Elle semble s’épanouir en maxi ou sur les mixes CD, désormais quasi-disparus. Logique si nous tenons compte de sa qualité première : elle est là pour faire battre le cœur des écumeurs de clubs et les garder le plus longtemps sur la piste. Cette fonctionnalité première du genre s’accommode ainsi difficilement d’un format porté par le jazz puis le rock, à partir du milieu des sixties. La narration n’est tout simplement pas la même. Wookie (2000), l’unique album de Wookie, est une des exceptions à cette règle. Continuer la lecture de « Wookie, Wookie (S2S Recordings, 2000) »