Who the fuck are you Baxter ?

La dernière fois que je t’ai vu Baxter, c’était au Silencio, tu portais un tee-shirt qui avait dû être blanc et dans lequel tu avais sué, tu buvais une bière au bar avec ton copain Jarvis et tu n’en avais rien à foutre que je me tienne debout devant toi. C’était l’année dernière, il faisait … Continuer la lecture de « Who the fuck are you Baxter ? »

#5 : Tindersticks, We Have All The Time in The World (Clawfist, 1993)

Si j’ai pris pour habitude de me lever tôt et dormir peu (et mal), j’ai toujours eu cette propension hautement revendiquée à la glande et à la procrastination. Vite lever le pied, remettre au surlendemain, rechigner devant l’effort et refuser l’obstacle sont des compétences qui n’ont plus de secret pour moi. Après avoir longtemps sinué … Continuer la lecture de « #5 : Tindersticks, We Have All The Time in The World (Clawfist, 1993) »

#4 : Gang of Four, At Home He’s a Tourist (EMI, 1979)

Cette histoire de gouttière toujours pas réparée (cf. #2) va finir par m’en coûter, je le crains. Ma femme télétravaille, les enfants ont des télécours et des télédevoirs, et moi, histoire de recoller au peloton, je clame que je suis au téléchômage. Dès lors m’incombe une large part des tâches ménagères, les courses, le bricolage, … Continuer la lecture de « #4 : Gang of Four, At Home He’s a Tourist (EMI, 1979) »

#3 : Robert Wyatt, At Last I Am Free (Rough Trade, 1980)

A l’instar d’un Syd Barrett (« I know where he lives and I visit him / In a little hut in Cambridge », chantaient en 1981 les Television Personalities), Robert Wyatt est passé maître dans l’art du confinement, à son corps défendant. Wyatt, batteur de Soft Machine, exclu par ses petits camarades après l’album Fourth … Continuer la lecture de « #3 : Robert Wyatt, At Last I Am Free (Rough Trade, 1980) »