#30 : The Danse Society, 2000 Light Years From Home (Society Records, Arista, 1984)

Je lorgne sur certaines des listes de confinement qu’on a bien voulu me communiquer. Ad Astra, First Man, The Right Stuff (L’étoffe des héros), l’immarcescible 2001 : A Space Odyssey. Notre besoin d’évasion est impossible à rassasier – et nous pousse à maladroitement singer Stig Dagerman. Amusant comment toutes ces histoires de conquête de l’espace convoquent … Continuer la lecture de « #30 : The Danse Society, 2000 Light Years From Home (Society Records, Arista, 1984) »

Selectorama : Rustin Man

Après 17 années de silence radio depuis la sortie de son album avec Beth Gibbons, Rustin Man nous a gratifié de deux albums en l’espace d’un an. Enregistrés lors des mêmes sessions, ils se démarquent par des atmosphères différentes. Si Drift Code est un album dense et électrique Clockdust en est une variation plus aérée … Continuer la lecture de « Selectorama : Rustin Man »

#29 : Sparks, This Cannes Ain’t Big Enough For Both Of Us (Island Records, 1974)

Russel Mael ne descendra pas au Carlton. Ron Mael ne jouera pas de son Roland anagrammé Ronald sur la place de la Castre. Les Sparks ne monteront pas les marches sous les vivats, et on s’en désole. Pas plus qu’en mai, Cannes 2020 n’aura lieu fin juin – début juillet comme l’appelait de ses vœux … Continuer la lecture de « #29 : Sparks, This Cannes Ain’t Big Enough For Both Of Us (Island Records, 1974) »

Debbie Harry, Face it (Harper Collins)

Icône punk, sex-symbol, blonde atomique… Les clichés sur Debbie Harry sont aussi nombreux et inévitables que les innombrables représentations qui existent de son visage parfait. C’est d’ailleurs ce qui l’a poussée à choisir ce titre, Face It, pour ses mémoires illustrées de photographies connues (celles de Chris Stein) et d’œuvres envoyées par les fans, conservées … Continuer la lecture de « Debbie Harry, Face it (Harper Collins) »

Liam Hayes, Mirage Garage (Weird Vacation)

Mais où donc a bien pu passer Liam Hayes ? « Dans ton culte ! » a-t-on souvent été tenté de répondre, comme pour désamorcer avec une pointe d’ironie grossière les désillusions inévitablement accumulées au cours d’une non-carrière qui s’étale désormais sur plus d’un quart de siècle, et où les coups de génie ont souvent succédé à de longues … Continuer la lecture de « Liam Hayes, Mirage Garage (Weird Vacation) »