Selectorama : Nick Drunken Broken Arms & His False Dylan Cobb

Originaire de Sheffield où il jouait au sein de son premier groupe garage-psych-country-soul The Jesus Loves Heroin Band, Nick Wheeldon débarque à Paris en 2012, et à depuis su montrer son talent et son hyperactivité auprès de Os Noctàmbulos, Sex Sux, Necessary Separation et autres 39th and the Nortons. Il compose également en solo de … Continuer la lecture de « Selectorama : Nick Drunken Broken Arms & His False Dylan Cobb »

Desolation Center de Stuart Swezey (2018)

Pour leur première sortie en DVD le 4 décembre prochain, le festival bordelais de documentaires musicaux Musical Ecran propose un film réalisé par l’américain Stuart Swezey, dont nous vous avions parlé il y a deux ans. * Le début des années 1980. Los Angeles. Une scène locale punk (Black Flag, le groupe d’Henry Rollins, The … Continuer la lecture de « Desolation Center de Stuart Swezey (2018) »

Peter Holsapple (The dB’s) : « Je crois que quand R.E.M. a triomphé, nous avons tous triomphé. »

The dB’s est toujours apparu comme un groupe interstitiel, de ceux dont l’œuvre, considérablement sous-estimée pendant bien des décennies, se niche dans ces anfractuosités confidentielles qui échappent à bien des classifications réductrices : entre les genres – ni totalement punk ou new-wave, ni vraiment power-pop ; entre les époques ou les scènes. C’est sans doute ce qui … Continuer la lecture de « Peter Holsapple (The dB’s) : « Je crois que quand R.E.M. a triomphé, nous avons tous triomphé. » »

Rémi Parson, Pour un empire (Isolaa Records)

« J’écris ces phrases avant la nuit, ce rideau d’enfer qui tombe dru et tout détruit, chemin de croix, machines arrières » Tout est histoire d’impressions. Quand je chausse mon casque Audio-Technica emprunté au travail, j’attends d’un disque qu’il me promène : géographies intimes ou imaginaires, dimensions temporelles, souvenirs, mondes alternatifs… Je n’attends que ça. … Continuer la lecture de « Rémi Parson, Pour un empire (Isolaa Records) »

The Parrots, Dos (Heavenly Recordings / PIAS)

La dernière fois que j’ai vraiment prêté attention à leurs chansons, c’était en 2019, dans la moiteur d’un été madrilène, pendant un festival où je m’étais rendu avec une femme pour voir The Cure. Je ne connaissais pas grand-chose de ces gars-là : une reprise très addictive d’un hit reggaeton (!) – Soy Peor, le temps … Continuer la lecture de « The Parrots, Dos (Heavenly Recordings / PIAS) »

The War On Drugs, I Don’t Live Here Anymore (Atlantic)

Bribes de conversation avec un ami disquaire : — Mais bordel, pourquoi tu t’infliges ce genre de merde ?! — Conscience professionnelle, dude. Si des clients viennent m’en parler je suis un peu obligé de savoir de quoi il en retourne. Même si c’est totalement à chier. J’ai parfois moi aussi, des crises de conscience professionnelle, … Continuer la lecture de « The War On Drugs, I Don’t Live Here Anymore (Atlantic) »

Selectorama : Charlene Darling

Charlene Darling est née alors que Charlotte avait déjà 16 ou 17 ans, au moment où elle écrivait pour la revue Minimum Rock’n’Roll. Un peu plus tard, elle tentait ses premières expérimentations musicales dans Pussy Patrol. Elle y jouait sans technique, à l’instinct : « J’aimais bien que ça joue mal, parce que j’avais en tête … Continuer la lecture de « Selectorama : Charlene Darling »

Aimee Mann, Queens Of The Summer Hotel (SuperEgo Records)

Début de la chanson, début de la consultation, le docteur dit : Give me fifteen, give me fifteen, give me fifteen minutes That is all I need to make the call Give me fifteen, give me fifteen, give me fifteen minutes Women are so simple after all. Et hop : hôpital psychiatrique. Pont : You’re feminine, you’re crazy … Continuer la lecture de « Aimee Mann, Queens Of The Summer Hotel (SuperEgo Records) »