Patti Smith, La Poésie du Punk

C’est comme ça. Il y en a qui n’aiment pas Casillas, il y en a qui n’aiment pas Coppola, il y en a qui n’aiment pas Joy Division (et encore moins New Order), il y en a qui n’aiment pas Godard, il y en a qui n’aiment pas Camus, il y en a qui n’aiment … Continuer la lecture de « Patti Smith, La Poésie du Punk »

Le classement de la rédaction 2023

Il y a toujours quelque chose de l’artifice à tenter de redonner une cohérence collective à l’addition des préférences individuelles, à tous ces enthousiasmes singuliers et incommensurables que chacun d’entre nous essayons de mettre en mots et de partager le plus régulièrement possible. Pour la sixième année consécutive et, franchement, personne parmi nous n’aurait jamais … Continuer la lecture de « Le classement de la rédaction 2023 »

Codeine, absences et lenteurs

« D for effort / D for love / D because you pay the rent » – les premiers mots du premier morceau que joue Codeine à La Maroquinerie, à Paris, résonnent à la façon d’un mantra dont on ignore la date de naissance, tant tout cela est du moment, de l’instant présent – de … Continuer la lecture de « Codeine, absences et lenteurs »

Guilty pleasure : « Bullet The Blue Sky » par U2 (The Joshua Tree, 1987)

La limite. Où et comment poser une limite ? Où et comment définir un « plaisir coupable » ? Un plaisir coupable, ça pourrait être par exemple choisir de ne pas juger certaines icônes malgré la merde qu’ils font (je pense à Michel H ou John Lydon, pas à Morrissey), ça  peut être un morceau top concon mièvre mais … Continuer la lecture de « Guilty pleasure : « Bullet The Blue Sky » par U2 (The Joshua Tree, 1987) »

Selectorama Les Disques Du Crépuscule

Au début des années 1980, le centre du monde (enfin du monde de la musique intéressante) s’était déplacé à Bruxelles. Là, autour des Disques du Crépuscule fondés par Michel Duval et Annik Honoré, convergeait le meilleur d’un postpunk élargi, allant des expérimentations les plus pointues à la variété pop, et souvent alliant les unes et … Continuer la lecture de « Selectorama Les Disques Du Crépuscule »

J’ai été réveillé par le fantôme d’Ari

Il était 5h55 quand j’ai ouvert les yeux, horaire tout à fait inattendu pour un dimanche matin. Il était encore trop tôt pour me lever aussi, inspiré par l’actualité de la veille, j’ai retrouvé L’amour n’oublie jamais, l’autobiographie d’Ari parue en 2001 chez Pauvert. L’ouvrage a la particularité de n’être signé que son prénom, ce … Continuer la lecture de « J’ai été réveillé par le fantôme d’Ari »