#45+3 : Joy Division, Love Will Tear Us Apart vs. Girlschool, Nothing To Lose (Factory vs. Bronze, 1980)

« Le hard rock, c’est comme la Ligue Communiste Révolutionnaire. Ce qui est grave, ce n’est pas d’y passer, mais d’y rester. » (Anonyme, Congrès de l’Hay-les-Roses, novembre 1979) « She wears denim wherever she goes / Says she’s gonna get some records by the Status Quo / Oh yeah oh yeah » (Teenage Fanclub, The Concept, novembre 1991) … Continuer la lecture de « #45+3 : Joy Division, Love Will Tear Us Apart vs. Girlschool, Nothing To Lose (Factory vs. Bronze, 1980) »

Codeine, absences et lenteurs

« D for effort / D for love / D because you pay the rent » – les premiers mots du premier morceau que joue Codeine à La Maroquinerie, à Paris, résonnent à la façon d’un mantra dont on ignore la date de naissance, tant tout cela est du moment, de l’instant présent – de … Continuer la lecture de « Codeine, absences et lenteurs »

Guilty pleasure : « Bullet The Blue Sky » par U2 (The Joshua Tree, 1987)

La limite. Où et comment poser une limite ? Où et comment définir un « plaisir coupable » ? Un plaisir coupable, ça pourrait être par exemple choisir de ne pas juger certaines icônes malgré la merde qu’ils font (je pense à Michel H ou John Lydon, pas à Morrissey), ça  peut être un morceau top concon mièvre mais … Continuer la lecture de « Guilty pleasure : « Bullet The Blue Sky » par U2 (The Joshua Tree, 1987) »

Selectorama Les Disques Du Crépuscule

Au début des années 1980, le centre du monde (enfin du monde de la musique intéressante) s’était déplacé à Bruxelles. Là, autour des Disques du Crépuscule fondés par Michel Duval et Annik Honoré, convergeait le meilleur d’un postpunk élargi, allant des expérimentations les plus pointues à la variété pop, et souvent alliant les unes et … Continuer la lecture de « Selectorama Les Disques Du Crépuscule »