Damien Jurado, The Monster Who Hated Pennsylvania (Maraqopa)

Après In the Shape of a Storm (2019) et What’s New, Tomboy? (2020), deux albums enregistrés pour le compte de Mama Bird, le label de Portland (Orégon), Damien Jurado revient avec le superbement nommé The Monster Who Hated Pennsylvania, nouvel album qui est aussi la première référence de Maraqopa, la maison de disques qu’il vient … Continuer la lecture de « Damien Jurado, The Monster Who Hated Pennsylvania (Maraqopa) »

Lambchop en mots-clefs

Cela arrive, de temps en temps. C’est sans doute davantage une question de disponibilité personnelle, d’état d’esprit propice à une réception plus attentive puisque la qualité de la musique n’a jamais été vraiment en cause. Toujours est-il qu’avec la discographie pléthorique de Lambchop, il y a des rencontres fortes, des ponctuations qui marquent plus que … Continuer la lecture de « Lambchop en mots-clefs »

Le club du samedi soir #50 : It’s always 5 o’clock somewhere

« It’s always five o’clock somewhere in the world », ou « It’s always cocktail time somewhere in the world », ou la justification que se donnent les anglo-saxons pour boire un cocktail à toute heure. Après des mois privés de bars et de terrasses, nous pouvons enfin goûter de nouveau à l’art du cocktail et des spiritueux. Cette … Continuer la lecture de « Le club du samedi soir #50 : It’s always 5 o’clock somewhere »

Selectorama : Christophe Conte

A la parution du premier tome de l’Anti discothèque idéale en 2015, Christophe Conte, qui doit probablement me surestimer un chouia, m’avait gentiment confié que j’y ferais peut être éventuellement 2/3 découvertes. Comprendre que notre attachement aux causes perdues longtemps introuvables était parfois discordant mais pour l’essentiel, similaire. Et de Sagittarius à Linda Perhacs en … Continuer la lecture de « Selectorama : Christophe Conte »

Johanna Samuels, Excelsior! (Basin Rock/Mama Bird)

C’est toujours un ensemble de sentiments complexes que celui qui a trait à l’intimité. Davantage encore lorsqu’il s’agit d’en restituer les nuances en chansons. Comment, en effet, exposer publiquement ce qui relève du plus profondément privé sans en détruire – dans l’instant – la substance ? Le premier album de Johanna Samuels s’intitulait déjà Double Bind … Continuer la lecture de « Johanna Samuels, Excelsior! (Basin Rock/Mama Bird) »

Todd Rundgren, Something/Anything? (Bearsville, 1972)

Si l’art de la musique pop est né dans les sixties des mains des Beatles, Beach Boys, Love et autre Zombies, la décennie suivante ne fut pas pour autant avare de grands disques à même de perpétuer cet héritage. Parmi eux, figure en bonne place Something/Anything? (1972) de Todd Rundgren. Le musicien de Philadelphie possède alors, … Continuer la lecture de « Todd Rundgren, Something/Anything? (Bearsville, 1972) »

Jonathan Richman, I, Jonathan (Rounder, 1992, réédition Craft Records 2020)

  Jojo, le héros. Le vôtre, le mien, le nôtre, le tout un chacun, chacun sait, chacun a sa version. C’est un homme qui sort un brin de l’ordinaire. Faire court ? Lui sait, moi pas. Cette réédition en vinyle d’un album de 1992 permet toutefois d’en dire pas mal. Car c’est le moment où … Continuer la lecture de « Jonathan Richman, I, Jonathan (Rounder, 1992, réédition Craft Records 2020) »

Le club du samedi soir #49 : Cosey Fanni Tutti & co

La traduction de l’autobiographie de Christine Newby / Cosey Fanni Tutti constitue un véritable événement. Comme document sur une aventure créative exceptionnelle tout d’abord : du collectif COUM Transmissions à Throbbing Gristle, en passant par Chris and Cosey ou Carter Tutti Void, c’est tout un pan de l’histoire des arts sonores bruitistes, de la performance … Continuer la lecture de « Le club du samedi soir #49 : Cosey Fanni Tutti & co »