The Songwriting Preservation Society : Tim Keegan et Stéphane Auzenet
Deux dates ensemble fin mai pour ces orfèvres de la composition pop.
quotidien pop moderne since 1991
Deux dates ensemble fin mai pour ces orfèvres de la composition pop.
J’ai toujours les miquettes* quand la musique que j’ai toujours aimée et défendue se voit à nouveau magnifiée au détour d’un album qui aurait pu échapper à ma vigilance. Au début du siècle, Fred Paquet m’avait convoqué d’autorité pour une écoute (fatale) du premier album de The Tyde, grâce lui en soit rendue. Il m’a … Continuer la lecture de « David Christian & The Pinecone Orchestra, For Those We Met On The Way (Tapete) »
Par deux fois, on a cru qu’il se produirait. La première, c’était en 2008 au moment de la sortie de Gorgeous Johnny, puis lors de la parution de Rough Frame en 2010. Depuis You Might Be Happy Someday, le miracle tant attendu semble enfin s’être réalisé. Glenn Donaldson reçoit enfin l’attention qu’il mérite depuis 20 … Continuer la lecture de « The Reds, Pinks & Purples, Uncommon Weather (Tough Love / Slumberland) »
Par deux fois, on a cru qu’il se produirait. La première, c’était en 2008 au moment de la sortie de Gorgeous Johnny, puis lors de la parution de Rough Frame en 2010. Depuis You Might Be Happy Someday, le miracle tant attendu semble enfin s’être réalisé. Glenn Donaldson reçoit enfin l’attention qu’il mérite depuis 20 … Continuer la lecture de « The Reds, Pinks & Purples, Uncommon Weather (Tough Love / Slumberland) »
On ne doit pas rencontrer ses héros ? Sans doute. Mais il y a toujours des exceptions. Lorsque j’ai rencontré Peter Milton Walsh pour la première fois, c’était dans les locaux de son label français – New Rose, peut-être – un matin de novembre, au lendemain d’une prestation électrique au festival des Inrockuptibles. Je crois … Continuer la lecture de « The Apartments – Sans Domicile Fixe (1995) »
Celle-là, je l’aurai longtemps tenue en laisse, laisse sur laquelle elle n’a cessé de tirer. D’entrée j’ai pensé la renvoyer ad patres, au mieux au chenil. Il fallait m’en débarrasser, l’oublier au plus vite, elle puait trop l’évidence. Sur n’importe quel blog, dès les premières heures de la pandémie, des types – ou des filles, … Continuer la lecture de « #38 : R.E.M., It’s The End Of The World As We Know It (And I Feel Fine) (I.R.S. Records, 1987) »
Anton avait téléchargé le nouvel album des Strokes. L’étape attendue d’une affection discrète mais tenace dont l’origine, le quand comme le comment, restait à déterminer. Sa mère et moi n’y étions pour rien, ni apparemment aucun de ses camarades de classes (on dit bro, contre-attaqua son frère). Bon. Pas de quoi en développer un zona, … Continuer la lecture de « #24 : The Dentists, Strawberries Are Growing In My Garden (And It’s Wintertime) (Spruck Records, 1985) »
C’est le 15 août. Un mardi. Je m’en souviens, car sur l’une des photos prises ce jour-là dans le hall de l’aéroport de Roissy, deux amis et moi (je suis le seul à partir), tout sourire dehors, posons fièrement avec un exemplaire de France Football (c’était le jour de parution du magazine). Partir ? Oui, … Continuer la lecture de « Quiet art – Quelques souvenirs autour des Go-Betweens »