
« Séléné, tu es si renversante que je suis à jamais renversée d’avoir aperçu la peau de ton ventre »
C’est marrant, parfois il y a collision. Je lisais l’entretien d’Arnaud Viviant pour le webzine Benzine : l’ancien journaliste de Libération y propose le top de ses albums préférés. S’y trouve une chanteuse qui m’était inconnue : Alexandra Roos. Je découvre hébété, c’est tout l’intérêt inépuisable de ces tops en pagaille dont je raffole, cette chanson d’alt rock – comme on dirait dans les rédactions de magazines rock – et sa poésie lyrique et crue : Prends-moi, à prendre justement au sens littéral du terme. S’en dégage une atmosphère exempt d’humour ou de second degré. Continuer la lecture de « Léa Jacta Est, Les films pour adultes (autoproduction) »

1979 fut l’année de la 
Il n’y a jamais eu énormément de solutions musicales envisageables à la question délicate et cruciale du vieillissement. Quelle figure acceptable peut-on continuer à présenter de soi-même lorsqu’il s’agit de conclure, bientôt, et de surcroît dans un registre – celui de la pop – particulièrement attaché aux sources de ses mythologies adolescentes fondatrices ? Avec le temps, un modèle de référence semble parfois avoir fini par émerger pour demeurer tout en renonçant. Celui élaboré entre 1994 et 2003 au travers des collaborations successives entre 

