#35 : Stockholm Monsters, All At Once (Factory, 1984)

Sur un plateau de la balance, Virna Lindt, Attention Stockholm. Sur l’autre, les Stockholm Monsters. Brett Anderson et Suede n’ont pas été convoqués. Aller chercher l’exception suédoise en matière de stratégie sanitaire, le pays européen où le confinement n’est pas appliqué, où les écoles, les bars et les restaurants restent ouverts, où le port du … Continuer la lecture de « #35 : Stockholm Monsters, All At Once (Factory, 1984) »

Debbie Harry, Face it (Harper Collins)

Icône punk, sex-symbol, blonde atomique… Les clichés sur Debbie Harry sont aussi nombreux et inévitables que les innombrables représentations qui existent de son visage parfait. C’est d’ailleurs ce qui l’a poussée à choisir ce titre, Face It, pour ses mémoires illustrées de photographies connues (celles de Chris Stein) et d’œuvres envoyées par les fans, conservées … Continuer la lecture de « Debbie Harry, Face it (Harper Collins) »

Aimee Mann, How Am I Different

À cette époque comme à d’autres, le cinéma se lit, autant qu’il se voit. Après chaque projection, tel un rite, vient l’inévitable débat nourri de lectures, les Cahiers, Les Inrockuptibles, Telerama, etc., qui fourmillent de théories dites et non dites, sues et insues, depuis lesquelles nous prenons langue. Chacun a sa publication de référence et … Continuer la lecture de « Aimee Mann, How Am I Different »

Bill Baird ou comment réussir dans l’industrie du disque

Après être tombé en admiration devant Spring Break Of The Soul (2013) et avoir rédigé à la va-vite un Sous Surveillance pour la RPM sur son auteur (un Sous Surveillance sur artiste qui avait déjà enregistré une bonne dizaine de disques – quelle idée !), j’ai manqué presque toutes les occasions d’écrire sur Bill Baird. Il … Continuer la lecture de « Bill Baird ou comment réussir dans l’industrie du disque »