Le club du samedi soir # 3 : The Style Council

C’est le premier – ex-aequo avec Robert Smith (ça doit se jouer à quelques semaines). C’est l’année 1982, le premier magazine acheté, un numéro de Best – j’en suis à peu près sûr. Il est question de The Who, il est question de The Jam, il est question des mods. Je ne comprends pas tout … Continuer la lecture de « Le club du samedi soir # 3 : The Style Council »

Blind Test : Jacno

Aujourd’hui, la conscience professionnelle me guide à donner tort à mon ministre (et à ses conseillers à la noix) et à travailler un peu plus que de coutume – ça me dérange pas, j’ai un emploi du temps fait pour ça. Hier, cette même conscience professionnelle pouvait être synonyme de frustration : pour cause de … Continuer la lecture de « Blind Test : Jacno »

Selectorama : Tim Burgess

Il est loin, le temps des premiers Charlatans. L’inépuisable Tim Burgess sort I Love The New Sky demain, son cinquième disque solo. Mi pop mi expérimental, ce nouvel album est la synthèse parfaite de ses trente années au service de la pop. De l’hommage appuyé au Boys Don’t Cry de The Cure sur Empathy For … Continuer la lecture de « Selectorama : Tim Burgess »

#45+3 : Joy Division, Love Will Tear Us Apart vs. Girlschool, Nothing To Lose (Factory vs. Bronze, 1980)

« Le hard rock, c’est comme la Ligue Communiste Révolutionnaire. Ce qui est grave, ce n’est pas d’y passer, mais d’y rester. » (Anonyme, Congrès de l’Hay-les-Roses, novembre 1979) « She wears denim wherever she goes / Says she’s gonna get some records by the Status Quo / Oh yeah oh yeah » (Teenage Fanclub, The Concept, novembre 1991) … Continuer la lecture de « #45+3 : Joy Division, Love Will Tear Us Apart vs. Girlschool, Nothing To Lose (Factory vs. Bronze, 1980) »

Badly Drawn Boy, année 00

Il est des chansons qui, dès l’intro, vous font réaliser une impressionante culbute spatio-temporelle. Disillusion, l’un des singles extraits du pléthorique premier album de Badly Drawn Boy, The Hour Of Bewilderbeast, paru en l’an 2000, est de celles-là. Alors, dès que retentit le premier roulement de batterie, c’est un vendredi ou un samedi soir dans … Continuer la lecture de « Badly Drawn Boy, année 00 »

Kings Of Convenience, année 01

De toutes les années passées à la RPM (et son ancêtre magic mushroom), je garde une affection particulière pour les années charnières des ancien et nouveau millénaires : nous étions de plus en plus nombreux dans les locaux de cette adresse finalement assez dingue que fut le boulevard de Ménilmontant (mention très particulière à nos … Continuer la lecture de « Kings Of Convenience, année 01 »

#45+1 : The Sea Urchins, Pristine Christine (Sarah Records, 1987)

La voisine du troisième m’observait d’un sale œil alors que j’étais accroupi dans la cour, occupé à ramasser le verre brisé. Synchrone avec l’acmé de nos effusions sonores, le carreau avait bruyamment volé en éclat, traversé par sa paume ouverte qui criait une douleur n’appartenant qu’à elle. Tu ne vois ni ne comprends jamais rien, … Continuer la lecture de « #45+1 : The Sea Urchins, Pristine Christine (Sarah Records, 1987) »