Spéciale Flying Nun
Émission du 4 octobre 2020
Présentée par Thomas Schwoerer, avec Matthieu Grunfeld et Fred Paquet du Pop Culture Shop.
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Fail & Foil, second album du trio de Nanterre Chiens de Faïence sorti il y a quelques semaines à peine via trois labels (Howlin’Banana Records, Hellzapoppin Records et Safe In the Rain Records) vous avait été proposé en écoute en avant-première ici. Pour prolonger le plaisir de leur pop DIY et lo-fi, nous leur avons demandé quelques références dans cet univers bien moins tendre qu’il n’y paraît. Boris, Harmonie et Malo sont allés chercher dans leurs bacs à disques / disques durs respectifs quelques pierres fondatrices, dont Jean-Luc Le Ténia, Electrelane ou Yo La Tengo, et un petit tour du côté de la Nouvelle-Zélande avec The Great Unwashed chez Flying Nun Records. Continuer la lecture de « Selectorama : Chiens de Faïence »
Sans nouvelles musicales de Lisa Li Lund depuis maintenant dix annuités et son Big Crunch Theory paru chez Versatile, on commençait à s’inquiéter. Nous voilà donc complètement rassurés puisque sort aujourd’hui en avant première d’un album à paraître en janvier prochain, un premier extrait soyeux, This Side Of The Moon, presque pile pour la pleine lune en Bélier de demain soir. Pour le peu qu’on en ait écouté, Glass Of Blood, enregistré en compagnie du dude Guillaume Léglise, devrait définitivement faire taire les mauvaises langues et mettre tout le monde d’accord. On vous en reparlera rapidement, et on peut déjà dévoiler une part du casting : Etienne Jaumet et Cosmic Neman (Zombie et Zombie), Chloe, Kim, Romain Turzi et Ben Mc Connell (Beach House, Buvette, Oiseaux Tempête). Indiquons aussi un changement de crèmerie puisqu’il sortira chez Pan European Recording qui en a profité pour mettre en ligne une part importante si ce n’est intégrale du back catalogue de notre franco-suédoise préférée.
Est-ce que vous aussi vous pensiez, ce printemps, que tout serait revenu à la normale d’ici septembre ? Que l’on se bousculerait à nouveau dans des caves, en sueur, devant des artistes venus des quatre coins du monde ? Si 2020 nous aura appris quelque chose, c’est la patience, et le cynisme n’aura pas raison de notre curiosité. Ce mois-ci encore, de belles sorties se sont fait remarquer. Nous vous en proposons, comme tous les mois, un assortiment. (Coralie Gardet) Continuer la lecture de « SECTION26 NEWS#9 : 09.2020 »
Vers le milieu des années 1980, il y a eu une poignée d’albums qu’on n’a pas vraiment su classer – ou plutôt, qui échappaient à nos références principales et donc, à nos catégories (des catégories qui de toutes façons n’allaient plus tarder à complètement voler en éclats). Sans ordre chronologique d’apparition, je me souviens du Boat To Bolivia de Martin Stephenson & The Daintees, de Walk Accross The Rooftops et Hats de The Blue Nile ou du Steve McQueen de Prefab Sprout. Ce sont des disques qu’on aimait passionnément sans vraiment comprendre d’où ils venaient, d’où ils sortaient – mais finalement, était-ce important ? Et en 1986, après quelques singles disséminés au début de la décennie (à côté desquels j’étais pour ma part complètement passé), It’s Immaterial s’est immiscé dans mon quotidien. Continuer la lecture de « Mixtape Section26 #10 : It’s Immaterial »
En réalisant cette compilation, j’ai découvert que Patty Schemel de Hole avait écrit – chose rare parmi les batteurs – un livre autobiographique, Hit So Hard, qui a même inspiré un documentaire du même nom réalisé par P. David Ebersole, visible sur Dailymotion. On y apprend notamment qu’à l’époque de l’enregistrement de Celebrity Skin de Hole, le producteur Micheal Beinhorn – connu pour être la bête noire des batteurs – était parvenu à persuader le reste du groupe de faire remplacer Patti par un requin de studio, sous le prétexte que ses prises n’étaient pas assez parfaites à son goût. Cet événement humiliant a entraîné son départ du groupe et a par la suite contribué à précipiter son interminable descente aux enfers dans l’héroïne et le crack. Pourtant, quand on réécoute un disque comme Live Through This, et notamment des titres comme Violet ou Gutless, on s’étonne qu’une batteuse à la fois puissante, précise et techniquement impeccable ait pu être remplacée en studio sans que le groupe ne s’y soit opposé.
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Le nouvel album de Jonathan Fitoussi, Plein soleil, file la double métaphore de la luminosité et de la géographie imaginaire. Une manière de convoquer l’utopisme futuriste typique des débuts de la musique électronique : comme par exemple avec Amazonie ou encore Vents magnétiques, qui évoquent certaines figures mythiques comme celles de Morton Subotnik ou de Suzanne Ciani, en célébrant cet art subtil de la synthèse modulaire analogique et ce qu’elle peut porter comme visions d’avenir fantasmatiques. Et pour le coup, l’album de Jonathan Fitoussi place la barre très haut. Sa force d’évocation révèle un musicien en pleine possession de ses moyens. Continuer la lecture de « Selectorama Jonathan Fitoussi »