Stranger Teens #12 : « Charlotte Sometimes » par The Cure
Tout l’été, les morceaux qui ont sauvé notre adolescence.
quotidien pop moderne since 1991
Tout l’été, les morceaux qui ont sauvé notre adolescence.
Tout l’été, les morceaux qui ont sauvé notre adolescence.
Le mardi 15 mai 1984, alors que la Curemania n’est pas encore-là, The Cure retrouvait le public parisien. Parmi les présents entassés dans un Zénith surbondé, certains allaient vivre leur première fois… “You’re the noisiest audience we’ve ever had” – “Vous êtes le public le plus bruyant qu’on n’ait jamais eu”, le temps d’une traduction … Continuer la lecture de « The Cure, toute première fois »
Anges du bizarre, bords de falaise & considérations émotives autour d’un joyau pop bien connu.
Simon Gallup a décidé de quitter The Cure, après plus de quarante ans passés aux côtés de son frère d’armes Robert Smith. On a beau savoir que tout finit par finir, on ne peut pas s’empêcher d’avoir le cœur serré. Le mythique bassiste était, selon les mots de Robert Smith, son « meilleur ami » … Continuer la lecture de « The Cure, Play For Today (The Swingin’Pig, 1990) »
En 2005, la prestigieuse série de rééditions DeLuxe s’attaquait à la prestigieuse discographie d’un des groupes les plus importants de sa génération – voire même un peu plus que ça. La faute à un tracklisting légèrement bancal, Three Imaginery Boys (1979), sa pochette rose et son clin d’œil électroménager n’annonçaient pas complètement la décennie qui … Continuer la lecture de « The Cure, Three Imaginary Boys (Fiction Records, réédition Polydor/Universal) »
Je ne sais plus quel artiste avait déclaré cela, mais c’était dans un vieux numéro des Inrockuptibles – la formule bimestrielle, je crois : pour résumer, il affirmait que les chansons réussies étaient celles que l’on pouvait jouer à l’aide d’une simple guitare acoustique, débarrassées des enluminures de la production, libérées des arrangements, toujours splendides … Continuer la lecture de « Richard Robert reprend “Just One Kiss” de The Cure (inédit) »
Il a crapahuté par monts et par vaux, armé de la prunelle de ses yeux : son Hasselblad dont il ne se sépare (presque) jamais, sans compter sur d’autres appareils tout aussi précieux qui en ont certainement vu des vertes et des pas mûres. Richard Bellia a arpenté l’histoire du rock par la face nord à mains nues, … Continuer la lecture de « Richard Bellia et The Cure : « Garder la bonne distance » »