
En 2004, John Canning Yates embarquait ses Ella Guru dans ses obsessions musicales avec The First Album. Publié chez Banana Recordings (où l’on a aussi pu écouter Art Brut), l’album empruntait des chemins balisés par la lumière qui émanent des disques de Low et de Lambchop. Il y a vingt ans, Liverpool écoutait Magic and Medicine des Coral, Manchester attendait un nouveau miracle dans la boutique Oasis et Sheffield ne s’était pas remise de la tornade Pulp. Ella Guru a publié un disque et est reparti discrètement. Depuis ? Silence radio. Violette Records (responsables de disques notables signés Michael Head, Studio Electrophonique ou The Reed Conservation Society), qui fait fi de la mode des radios FM, a écouté son instinct et permet aujourd’hui à John Canning Yates de faire son retour. Et quel retour. Continuer la lecture de « Les portraits sepia de John Canning Yates »
Tout change un peu, rien ne change vraiment. Après avoir achevé une première trilogie sur format court – 3 Ep’s (2021) –
D’abord, il y a le titre du disque. Ce titre qui, dès qu’on l’a lu pour la première fois, il y a quelques semaines de cela, a évoqué un autre titre. Celui du troisième album de
Il y a le rose des lettres qui sent bon le parfum du bubblegum. Il y a l’élégance de la typographie qui évoque quelques autres disques que l’on chérit depuis longtemps – des disques de
Alors que la si chic structure anglo-française 

Je me souviens très bien de l’article. Ou plutôt de la photo qui l’accompagne et de son titre. Visages Pales. C’est une colonne, autant dire par grand-chose mais c’est déjà ça. Pour la signature, j’hésite aujourd’hui :