
Ce n’est pas parce que je n’habite pas à Bordeaux que je vais me priver des conseils du disquaire du coin, Martial de Total Heaven. Un peu de prosélytisme, des rappels pour les étourdis, sur les réseaux, ça ne nuit à personne, la preuve, j’arrive deux mois après la bataille, mais on s’en fiche. L’EP, Distorsion de Pierre Gisèle est sorti fin janvier et je viens juste de tomber dessus. Pierre Gisèle est une chanteuse issue du collectif Flippin Freaks dont j’avais survolé les sorties jusque là sans accrocher, si ce n’est le J’ai raté ma vie du groupe Teeth, parce que ça parle de dentition, et que ça me touche. Continuer la lecture de « Pierre Gisèle, Distorsion (Flippin Freaks, Safe In The Rain) »
Il est parfois bon de rappeler que l’un des plus authentiques diamants brut du rock anglais a souvent et bien évidemment à tort, souffert d’une réputation pas forcement flatteuse. Dès son premier album,
Premiers souvenirs partagés. Ils remontent au tout début des années 1980 : l’un est sur scène, l’autre l’écoute. 

Il y a le rose des lettres qui sent bon le parfum du bubblegum. Il y a l’élégance de la typographie qui évoque quelques autres disques que l’on chérit depuis longtemps – des disques de
Bien sûr qu’il est essentiel de faire des listes. L’énumération n’a pas que du dérisoire : la lecture de
Les musiciens utilisateurs du système modulaire