Who the fuck are you Baxter ?

La dernière fois que je t’ai vu Baxter, c’était au Silencio, tu portais un tee-shirt qui avait dû être blanc et dans lequel tu avais sué, tu buvais une bière au bar avec ton copain Jarvis et tu n’en avais rien à foutre que je me tienne debout devant toi. C’était l’année dernière, il faisait … Continuer la lecture de « Who the fuck are you Baxter ? »

East Village : Les accroche-cœur

C’est un samedi après-midi, à Londres – le Londres d’avant l’Eurostar, où pour s’y rendre il faut un bus ou un train, un ferry, puis un train ou un bus qui nous dépose à Victoria Station au tout petit matin. C’est un samedi après-midi à Londres, et les éclaircies succèdent aux averses. Je ne sais … Continuer la lecture de « East Village : Les accroche-cœur »

The Parrots, Festival Mad Cool à Madrid, mercredi 10 juillet 2019.

Mince. Le bassiste joue sur une Höfner – peut-être pas le même modèle que Paul McCartney, mais quand même… Il y a quelques années, cela aurait sans doute suffi à ce que je tourne les talons, un air dédaigneux au coin des lèvres, direction le bar situé à peine à une centaine de mètres où … Continuer la lecture de « The Parrots, Festival Mad Cool à Madrid, mercredi 10 juillet 2019. »

Ceux qu’on a aimés en 2025

Pas toujours évident de s’en sortir dans la foison de suggestions des classements de l’année. La meilleure façon de l’aborder est sans doute de laisser parler la musique, et d’être séduit par l’un ou l’autre des titres de cette playlist. On vous la livre ici comme un court résumé de ce qu’on a aimé cette … Continuer la lecture de « Ceux qu’on a aimés en 2025 »

Edwyn Collins, l’adieu aux armes

Le 8 octobre dernier – vingt ans après les deux AVC qui l’ont rendu handicapé mais jamais à court d’idées –, il est monté pour la dernière fois sur scène dans sa Grande-Bretagne natale. En tout cas, aucun signal ne semble passer au vert pour une éventuelle venue sur le Vieux Continent, mais si tel … Continuer la lecture de « Edwyn Collins, l’adieu aux armes »

Dot Allison, lumières blanches

Au début des années 1990, nous étions quelques-uns, je crois, à être tombés amoureux de la voix éthérée – et pas que, soyons sincères, un garçon prénommé Guy-Manuel ne pourrait absolument pas dire le contraire – de la diaphane Dot Allison, figure de proue d’un trio de Glasgow. Dans la Grande-Bretagne post-Screamadelica, One Dove pouvait … Continuer la lecture de « Dot Allison, lumières blanches »