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Überspannung est un nouveau duo Alsacien-Lorrain basé à Strasbourg et composé de Lucas aux machines, synthés et voix et de Hugo à la basse, synthés et voix.
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Überspannung est un nouveau duo Alsacien-Lorrain basé à Strasbourg et composé de Lucas aux machines, synthés et voix et de Hugo à la basse, synthés et voix.
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Avec son groupe les Heaters, Jackson Reid Briggs nous avait habitués à jouer un rock’n’roll puissant et déflagrateur. L’australien revient en solo avec Expectation, single de son prochain EP Out Of Lines à paraître début Juin sur Legless Records. Cette balade mélancolique composée d’une guitare désenchantée et d’une voix toujours dans l’urgence qui met en musique les attentes du quotidien. Un morceau rempli de spleen annonciateur d’une page qui se tourne puisqu’il vient d’emménager en Europe récemment. Il sera au Garage Mu Festival organisé à la Station – Gare des Mines le samedi 9 Juillet.
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Après des démos sorties en cassette sous le manteau ou presque chez Sutra en 2017, le texan Barry Elkanick, que l’on à vu officier dans Institute et Blue Dolphin, présente son premier LP à paraître le 22 Juillet prochain chez l’excellent Post Present Medium, le label de Dean Spunt du groupe No Age. Sur Root by Root, premier single de cet album qui commence (plus ou moins) en douceur, la guitare bringuebalante se déroule et pourrait bien correspondre à la bande-son d’un voyage en voiture au crépuscule. La suite s’emballe, la voix lointaine de Barry pique au vif et fait accélérer le tempo, elle apporte de la noirceur au morceau, et le duo basse-guitare alourdit l’ensemble qui finit en fracas. Continuer la lecture de « « Root by Root » par Chalk crisse à souhait »
Tout premier disque désarmant pour l’allemand originaire de Constance
Du côté de Constance en Allemagne, Lukas Stadler aka Luke Lover joue dans le groupe garage punk The Jimmy’s, et participe à l’aventure au Horst Klub, salle de concert-skatepark nichée au bord du lac de Constance côté Helvète. N’interrogez pas vos moteurs de recherche préférés, le voici avec une première cassette chez Hidden Bay records (un label toulousain que l’on aime beaucoup) et We don’t Make It Records, la maison Suisse de Romain Savary de Léopardo, dont on vous a également déjà parlé. Continuer la lecture de « Les rêves lo-fi de Luke Lover »
On ne sait pas trop s’il s’agit d’un collectif ou d’un supergroupe, mais peu importe, seul le résultat compte. Musique expérimentale ? Traditionnelle ? Le curseur s’affole sans se poser. Après plusieurs essais improvisés, Jérémie, Mathieu et Yann décident de segmenter leurs différents projets et de les nommer : naissent alors France, Zeitspielraum ou encore Meutr. Au gré de rencontres et sans opter pour un line-up statique, ils décident un soir, au Crous de Valence, d’appeler leurs efforts communs Tanz Mein Herz, en référence aux maigres notions d’allemand de Mathieu. En guise d’introduction aux musiques traditionnelles, la bande fréquente assidûment les concerts de Toad, le projet de Yann Gourdon & Guilhem Lacroux vite rejoints par Pierre-Vincent Fortunier. « C’était complètement barjo, ça jouait très fort, très sale avec une nonchalance très rock qui ne pouvait que nous plaire ». L’amitié entre tous les membres de Tanz Mein Herz est le lien qui fédère l’ensemble, leur musique est non calculée, navigue au gré des sensibilités et des envies. Ils prennent leur temps, fonctionnent par thèmes, pour les enregistrements comme pour les lives. Tout part souvent d’une rythmique, d’une ligne de basse et d’un placement spécifique des membres en cercle, car comme le dit si bien le groupe d’une seule voix, il veut être également auditeur de son propre son.
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Une ambiance motorique et mentale, c’est ce qui se dégage immédiatement de la musique d’Ashinoa. Cette fois, le groupe va encore plus loin que leurs précédentes sorties (autoproduites et chez Macadam Mambo) : deux titres en forme d’invitation au voyage, dans une atmosphère cosmique et profonde. Disguised in Orbit est une ascension puissante qui mêle sonorités électroniques, percussions métronomiques et rythmique dub. Feu de Joie, lui, part sur un tempo plus lent, avec des vapes d’effets et de la mélodie, comme un savant mélange de Mellotron, d’Arp Odyssey et de Korg Delta (pour les passionné.es) puis soudainement s’alourdit avec une guitare pesante à la rythmique impeccable. Ashinoa se nourrit et s’inspire de divers courants : « Pour les influences dub, cela proviendrait surement d’un artiste pop aux larges références dub : Skinshape. On en écoutait beaucoup au moment où l’album à été composé mais aussi beaucoup de El Michels Affair, pour l’influence plus hip-hop instrumental. » Une belle réussite, dont on attend la confirmation sur un album à venir chez Fuzz Club (qui avaient sorti Veik l’an dernier), le 25 Mars prochain.
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