Il en faut peu parfois, pour se rappeler à de souvenirs presque honteux ou juste un peu farfelus.
C’était il a quelques semaines, dans cette période un peu « confuse » où nous pouvions encore prendre l’apéritif en terrasse, une activité que j’ai beaucoup pratiquée mais dont la régularité est désormais assez aléatoire. De temps à autre, je me laisse aller et la plupart du temps je vais à Le Rochelle*, y papoter de la joie du néant avec ma camarade Maud T. tout en sirotant les pulpades légères que concocte avec soin, l’excellent Stéphane Bodin**. Qui n’est pas le dernier des fans obsessionnels de New Order, il va sans dire. Il a même fait leur première partie à l’Olympia, c’est dire. Il m’arrive d’ailleurs d’y revenir prendre un ou deux digestifs afin de ne converser qu’exclusivement sur ce sujet. Continuer la lecture de « La Bonne Vitesse »

Trop de gens l’ignorent, mais la
Un douze pouces, white label, tamponné à la main : le premier single de
Au milieu des années quatre-vingt, les membres d’
Il n’en faut pas beaucoup pour que les souvenirs affleurent. Cet automne, la réédition d’une compilation de b-sides –
Toutes les occasions sont excellentes. Celle-ci tout autant que les précédentes – l’exploration d’un fragment de discothèque confinée pour célébrer, quand même, le retour du printemps en réécoutant 