Suburbia, We Are From Surburbia (Kwaidan Records / Pop Lane)

Pendant plusieurs années, ça a été notre Danceteria, notre Haçienda, notre Heavenly Sunday Social… Ça a été l’endroit où les weekends n’avaient même plus temps d’exister tellement ils passaient vite. Ça a été l’endroit des rencontres, des ruptures, des expérimentations (“Une pinte de whisky orange, vraiment ?!”), des décisions d’une nuit qui allaient parfois changer … Continuer la lecture de « Suburbia, We Are From Surburbia (Kwaidan Records / Pop Lane) »

Selectorama : Adam Miller

“Ancré dans la grande tradition des poètes impressionnistes de la six-cordes, The Durutti Column, Felt à l’époque de Deebank ou les Cure du début…” C’est amusant : il y a des biographies qui laissent deviner à quel point on risque de s’enticher d’un disque qu’on n’a pas encore écouté… Il y a des parcours qui … Continuer la lecture de « Selectorama : Adam Miller »

Selectorama : Rose Mercie

Alors vous, ça faisait combien de temps que vous n’aviez pas été obsédé par un morceau ? Un simple morceau. Au point de l’écouter en repeat ? Au point de l’écouter tout le temps, hagard, au taquet, interdit ? Plus de 100 fois en deux semaines ? Au point d’en esquisser des remixages absurdes à vos moments perdus parce … Continuer la lecture de « Selectorama : Rose Mercie »

KG, Ein mann ohne feind (October Tone / Médiapop Records)

Il existe une contrée foutraque où ne résonne aucune loi, où la réalité n’est que celle que l’on se créé, où les stratégies sont forcément obliques. Bienvenue au pays des merveilles de Rémy Bux alias KG qui distille lentement mais surement et depuis déjà trente ans une electro-noise-lo-fi et dont le dernier album Ein mann … Continuer la lecture de « KG, Ein mann ohne feind (October Tone / Médiapop Records) »

Selectorama : Destroyer

Survivre à un disque qui a marqué au fer blanc une génération de fans de musique indépendantes n’est pas une tâche facile. Kaputt, sorti seize ans après les débuts de Destroyer, était alors considéré comme un étalon du cool et l’est resté depuis. Car Dan Bejar était déjà en dehors de tout calcul et des … Continuer la lecture de « Selectorama : Destroyer »

Kiss, Music From « The Elder » (Casablanca, 1981)

Là, j’allais dire tragique, mais cette pauvre bête était antivax et anti-masque. La disparition de Meat Loaf, même si elle agite à divers dosages de statines quelques souvenirs plus ou moins avouables, renvoie tout de même à quelques mémoires éparses, quelques génances devant des choix de cassettes dans les rayons discographiques d’une pré-adolescence peu glorieuse. … Continuer la lecture de « Kiss, Music From « The Elder » (Casablanca, 1981) »

Climats #11 : Christophe Tarkos, Destroyer

This could be the saddest dusk ever seen You turn to a miracle high-alive Michael Stipe Peut-on écouter Vauxhall and I de Morrissey sous le franc soleil de juillet ? Et un Antônio Carlos Jobim empêtré dans un crachin de février, c’est toujours du Antônio Carlos Jobim ? Climats met en avant les sorties disques … Continuer la lecture de « Climats #11 : Christophe Tarkos, Destroyer »