Climats #20 : Tony Molina, Anne Dufourmantelle

This could be the saddest dusk ever seen You turn to a miracle high-alive Michael Stipe Peut-on écouter Vauxhall and I de Morrissey sous le franc soleil de juillet ? Et un Antônio Carlos Jobim empêtré dans un crachin de février, c’est toujours du Antônio Carlos Jobim ? Climats met en avant les sorties disques … Continuer la lecture de « Climats #20 : Tony Molina, Anne Dufourmantelle »

L’immensité – Rebecca Elson, Rose Melberg & Tony Molina, Jacques Rivette

Collage sauvage et de mauvaise foi de l’actualité culturelle de la semaine

Tony Molina, Kill The Lights (Slumberland / import)

On se souvient tous plus ou moins (enfin surtout nous, les jeunes, qui l’avons vu de son vivant) de notre réaction énamourée et définitive à l’écoute du premier morceau d’Eliott Smith que nous ayons entendus. L’évidence d’un talent supérieur, d’une propension à toucher les étoiles l’air de rien, et surtout du décalage entre la vision … Continuer la lecture de « Tony Molina, Kill The Lights (Slumberland / import) »

Marbled Eye de retour après cinq ans d’attente

Cinq ans après Leisure, leur unique album, la bande d’Oakland (composée de Chris Nativitad, Alex Shen, Michael Lucero & Ronnie Portugal, qui succède à Andrew Oswald parti du groupe récemment) a su être patiente. Après moult événements de vie (séparations, naissance d’enfants ou autres déménagements), Marbled Eye nous fait le plaisir d’un nouvel album, Read … Continuer la lecture de « Marbled Eye de retour après cinq ans d’attente »

The Umbrellas : pluie d’amour sur San Francisco

Ces parapluies-là ne viennent pas de Cherbourg mais de San Francisco. Un nom de groupe étonnant car il ne doit pas pleuvoir bien souvent en Californie, berceau de The Aislers Set, Neutrals, Tony Molina ou The Reds, Pinks and Purples. Mais c’est plutôt du côté des influences musicales très repérables qu’il faut chercher. Car comme … Continuer la lecture de « The Umbrellas : pluie d’amour sur San Francisco »

The Lost Days, In The Store (Speakeasy Studios)

Les trois minutes réglementaires du format canonique de la chanson pop ont toujours constitué un carcan formel à partir duquel les grands auteurs s’efforcent de proposer leurs déclinaisons personnelles. Une référence contraignante et féconde à la fois. Trois minutes donc, ou un peu plus : il y a ceux pour lesquels ce n’est pas assez ; d’autres … Continuer la lecture de « The Lost Days, In The Store (Speakeasy Studios) »

Le classement de la rédaction 2022

Je n’aurais jamais pensé, en le chroniquant de manière assez spontanée, que l’album de Bill Callahan finirait au firmament des disques de 2022 des contributeurs de Section26. Disque exigeant mais par certains côtés facile à appréhender, Reality (ou plutôt Ytilear) correspond assez bien à nos exigences de curiosité, de qualité et d’entresoi. Si le bonhomme … Continuer la lecture de « Le classement de la rédaction 2022 »

Cotton Mather, Kontiki (Copper Records, 1997)

On avait trouvé à l’époque l’accroche en forme de punchline de notre chronique imaginaire. Mi- paresseux, mi- soucieux de faire le malin, on s’était directement servi chez Truffaut en ponctionnant quelques phrases sorties du gosier de l’impayable Petite Feuille, l’instit’ des 400 coups. « Il leva un point crispé par la rage et cria d’une voix … Continuer la lecture de « Cotton Mather, Kontiki (Copper Records, 1997) »