Ah c’est déjà fini ?
Profitant d’un abrutissement dit du nouveau variant (je me retape un Covid) je me suis permis de me retaper aussi un joyau de l’adolescence, The Head On The Door, paru le 30 août 1985 soit il y a, oui, quarante ans. Et si je suis encore amusé voire sidéré par un certain nombre de choses, c’est surtout sa brièveté qui m’étonne aujourd’hui. Trente-sept minutes et quarante-sept secondes. Qui passent en fait comme un quart d’heure bien agencé d’une convers(at)ion en bonne et due forme. Pour les puristes, fort marris de voir leur groupe chéri au Top 50, une purge, une trahison communautaire. Pour les nouveaux venus, que les autres appelleront bile en tête curistes* une véritable porte d’entrée vers quelque chose de plus important. C’est un disque de réconciliation, de concorde nouvelle, d’un nouveau départ. Continuer la lecture de « The Cure, The Head On The Door (Fiction / Polydor, 1985) »
Il y a ces deux albums publiés à quelques semaines d’intervalle, coup sur coup, mais tellement différents. Difficile pourtant de résister à la tentation comparative puisqu’ils apparaissent simultanément comme deux surgeons d’un des groupes américains les plus importants du début de ce siècle. 


Aujourd’hui, partons à l’autre bout du monde, quelque part dans la mer de Tasman aux confins du Pacifique. Ce mystérieux pays gagne régulièrement la coupe du monde de rugby à notre détriment. Nous sommes à Auckland, la plus grande ville de Nouvelle Zélande à la découverte de 
