Le club du samedi soir #1 : Wes Anderson Fan Club

Parce que j’ai toujours voulu être Margot Tenenbaum, son carré blond parfait retenu par une simple barrette, sa micro-robe sous son manteau de fourrure, écrivaine qui pleure dans sa baignoire avec une classe folle. Parce qu’il s’agit d’histoires de familles compliquées et que pour moi aussi, la famille, c’est compliqué. Parce que j’aime retrouver à … Continuer la lecture de « Le club du samedi soir #1 : Wes Anderson Fan Club »

Confeti De Odio, Tragedia Española (Snap! Clap! Club)

D’abord, il y a eu cette pochette, aperçue un dimanche soir sur Instagram, sur le compte du très recommandable Nacho Canut – pour ceux qui ne suivent ou ne savent pas, cet homme est la moitié de Fangoria et l’une des figures emblématiques de la Movida et de la scène pop espagnole depuis la fin … Continuer la lecture de « Confeti De Odio, Tragedia Española (Snap! Clap! Club) »

Lee Hazlewood, cow-boy pop

Avez-vous lu l’hilarant et très instructif Dictionnaire snob du Rock de David Kamp, critique rock à Vanity Fair, et Steven Daly, ancien membre d’Orange Juice ? On y trouve pléthore d’anecdotes savoureuses et de listes en tout genre, ainsi que maints classements éminemment polémiques et subjectifs, supposés établir de manière irrévocable quelques « vérités » esthétiques définitives. … Continuer la lecture de « Lee Hazlewood, cow-boy pop »

Anthony Reynolds, A Painter’s Life (Rocket Girl Records)

Dès l’instant où j’ai entendu ma voix répondre « oui », je savais que j’avais fait une erreur. Pourtant, l’attaché de presse a eu la gentillesse de m’accorder une seconde chance : « Et donc, tu en es sûr, on peut organiser l’interview après le concert ? » Bruxelles, 2002. C’est peut-être le printemps. Anthony Reynolds est le chanteur du … Continuer la lecture de « Anthony Reynolds, A Painter’s Life (Rocket Girl Records) »

Jeffrey Lewis & The Voltage, Bad Wiring (Don Giovanni Records / Moshi Moshi Records)

Après bientôt 20 ans passés à écrire des chansons, à bourlinguer à travers le monde dans une sorte de « neverending tour », mais aussi à réaliser incessamment dessins et B.D., Jeffrey Lewis aurait pu se lasser, s’émousser ou tout simplement se ranger des voitures. Pourtant, à l’écoute de son nouvel album, on constate que l’éternel adolescent … Continuer la lecture de « Jeffrey Lewis & The Voltage, Bad Wiring (Don Giovanni Records / Moshi Moshi Records) »