Le parfum – William T. Vollmann, The Durutti Column, Terrence Malick
Collage sauvage et de mauvaise foi de l’actualité culturelle de la semaine
quotidien pop moderne since 1991
Collage sauvage et de mauvaise foi de l’actualité culturelle de la semaine
C’est peu dire que si je l’ai découverte en été, la musique de Vini Reilly ne se savoure pleinement qu’à l’arrivée de l’automne, ses teintes de brou de noix s’accordant au mieux avec les premiers frimas. Et si l’exhumation de la chronique de cette réédition date de 2013, on ne saurait vous conseiller de scruter … Continuer la lecture de « The Durutti Column, LC (Factory Benelux, 1981) »
Il y a quelques semaines (autant dire dans une autre vie – c’était au mois de mai je crois), j’ai déjà écrit toute ma fascination pour l’Américain Matt Fishbeck, un esthète comme on n’en croise plus aucun dans l’univers de la musique pop, taillé dans l’étoffe d’un héros d’un film de Pasolini – si tant … Continuer la lecture de « Holy Shit reprend « Tomorrow » de The Durutti Column (inédit) »
http://news.factorybenelux.com/2018/03/durutti-column-another-setting-fbn-30.html
Il s’en est passé bien des choses depuis ce jour de novembre 2021 où l’on avait brisé les routines mornes d’un énième jour de confinement au fil de cette conversation à distance avec Mark Tranmer. Quelques dizaines de minutes – forcément trop brèves – pour tenter de dresser un bilan synthétique d’un parcours musical qui … Continuer la lecture de « Mark Tranmer (Gnac / The Montgolfier Brothers) à travers ses disques »
Comment s’y remet-on ? Comment reprendre la main quand on nous a bien fait comprendre qu’on avait fait mieux que les autres ? Qu’on avait potentiellement et absolument tout dit. Ça n’a pas du être simple d’être Brian McMahan après 1991, après la dissolution de son groupe, Slint, et la sortie (posthume donc) de Spiderland, … Continuer la lecture de « The For Carnation, s/t (Touch And Go / Domino, 2000) »
Comme certains peintres ont connu plusieurs “périodes” dans leur parcours artistique, la RPM canal historique (et seulement celle-ci) a connu plusieurs époques, que l’on peut lier de manière à peu près arbitraire aux différentes adresses connues par la rédaction. L’époque liée au 8, boulevard de Ménilmontant reste sans doute l’une des plus riches et des … Continuer la lecture de « Doves, Constellations For The Lonely (EMI North) »
C’est un calvaire, un Golgotha, un disque qu’il vaut mieux avoir sur la table qu’à l’esprit. Ce qu’un John Cale coupable en sourdine mais à peine, avait pris comme justificatif d’une déroute marchande annoncée. « The Marble Index is an artefact, not a commodity. You Can’t Sell Suicide. » Cette image quand même, grand résumé parfait et … Continuer la lecture de « Nico, The Marble Index (Elektra, 1968) »