Selectorama : Olivier Martinelli

Nous ne nous sommes jamais rencontrés. Mais nos routes se sont déjà croisées. Il y a plus d’une dizaine d’années. J’avais reçu au bureau un petit roman (par le nombre de pages) d’un auteur dont je n’avais jamais entendu parler mais dont le titre, Fanzine, avait suffisamment éveillé ma curiosité pour que je prenne la … Continuer la lecture de « Selectorama : Olivier Martinelli »

Dance to the Music #2 : Philly Soul

Philadelphie (Pennsylvanie), l’une des villes les plus importantes de la côte Est (avec New York City ou Boston, par exemple) peut compter sur une riche histoire et un rôle prépondérant dans l’indépendance des États-Unis d’Amérique. La symbolique Liberty Bell témoigne de ce passé glorieux. Pourtant dans les années soixante, soixante-dix, l’agglomération perd de sa population, notamment … Continuer la lecture de « Dance to the Music #2 : Philly Soul »

Daniel Darc, Amours Suprêmes (Water Music)

Via son label Water Music, Frédéric Lo – l’homme par qui Daniel Darc a ressuscité une dernière fois en 2004 avec l’immortel Crèvecœur – offre aujourd’hui au parfois discuté Amours Suprêmes – deuxième et dernier chapitre de ses aventures musicales avec l’auteur de Paris ou Je Suis Déjà Parti – une nouvelle vie en format … Continuer la lecture de « Daniel Darc, Amours Suprêmes (Water Music) »

Swervedriver, Future Ruins (Rock Action)

Le temps a, une fois de plus, effectué son formidable travail de sape. Et pourtant, qui aurait parié un repas chaud sur Swervedriver, groupe d’Oxford apparu comme des suceurs de roue de Ride (même ville, même label : Creation, même genre musical, qu’on appelait alors à peine Shoegaze) avec de plus une donnée capillaire infranchissable … Continuer la lecture de « Swervedriver, Future Ruins (Rock Action) »

The Pains of Being Pure at Heart, The Pains of Being Pure at Heart (Slumberland)

En 2019, de nombreux classiques des années soixante et soixante-dix vont fêter de respectueux anniversaires (cinquante et quarante ans), mais n’existe-t-il pas des albums cultes (ou en passe de le devenir) plus proches de nous, auxquels nous pourrions davantage nous identifier, nous qui n’étions pas nés à la sortie de ces monuments ? En scrutant … Continuer la lecture de « The Pains of Being Pure at Heart, The Pains of Being Pure at Heart (Slumberland) »

Bertrand Belin, Persona (Cinq 7)

Par quel bout le prendre pour le dire ? Des disques écoutés dès leur sortie, ça arrive de moins en moins. Il y a toujours quelque obsession à creuser, toujours du temps pour arriver ici ou là et, avouons-le, une résignation agréable : depuis le moment où j’ai saisi que je n’aurai pas assez d’une existence pour … Continuer la lecture de « Bertrand Belin, Persona (Cinq 7) »

Cheap Riot, (We Might Not) Make It! (Metadrone) / Les Lullies, Les Lullies (Slovenly)

Le 10 janvier dernier, l’Olympic fut le théâtre d’une messe punk aux allures de passage de relais entre deux groupes vibrants de la scène punk : Cheap Riot et Les Lullies (très bien raconté ici). Hasard du calendrier, leurs albums respectifs sont sortis à quelques semaines d’intervalle. Autre point commun, et non des moindres, ils … Continuer la lecture de « Cheap Riot, (We Might Not) Make It! (Metadrone) / Les Lullies, Les Lullies (Slovenly) »

Jérôme Minière, Dans la forêt numérique (autoproduit)

Le 07 décembre dernier, à l’heure où le terre entière fourbissait son Top 2018, Jérome Minière publiait en catimini un album, Dans la forêt numérique. Son dixième. Qui, au fur et à mesure des écoutes, est devenu mon disque francophone favori de l’année 2018, coiffant à la dernière minute Thousand sur la lignée d’arrivée. De … Continuer la lecture de « Jérôme Minière, Dans la forêt numérique (autoproduit) »