Le club du samedi soir #31 : A is For…

Nous voilà arrivés au 16 janvier de cette nouvelle année 2021 à peine démarrée et tout semble déjà désordonné. Il était difficile d’imaginer, même depuis des temps récents, que le monde puisse être capable de tourner tant à l’envers ! À échelle individuelle, peu de remèdes efficaces face à la crise, si ce n’est sans … Continuer la lecture de « Le club du samedi soir #31 : A is For… »

Le club du samedi soir #30 : The damned don’t cry (neo-romantism begins at home)

Comme pour la Movida, le premier souvenir qui revient en mémoire est un article. Un article à nouveau paru dans Rock And Folk – alors que j’étais plus Best, je crois  –, un article qui détaillait un monde qu’on aurait juré imaginaire. C’est la fin des années Collège, celles des premiers vinyles achetés le samedi … Continuer la lecture de « Le club du samedi soir #30 : The damned don’t cry (neo-romantism begins at home) »

Selectorama : Philippe François

Le rapport de chacun à la foi est une affaire individuelle, elle se niche parfois dans les circonvolutions les plus intimes. Vous pouvez d’ailleurs n’en revendiquer absolument aucune, personne ici ne s’en formalisera. Même si je fuis les papistes comme le virus, jamais je n’irais m’abandonner au moindre prosélytisme pour mettre en avant la religion … Continuer la lecture de « Selectorama : Philippe François »

The Bongos, Drums Along The Hudson (PVC)

Drums Along The Hudson, premier album de The Bongos, raconte en filigrane les tâtonnements de la scène indépendante américaine des années quatre-vingt. Si Murmur de R.E.M., publié en 1983, est généralement considéré comme l’an zéro de l’indie-pop étasunienne, de nombreux groupes développent, en marge du punk ou de la new-wave, les fondations de l’indie au début … Continuer la lecture de « The Bongos, Drums Along The Hudson (PVC) »

Ela Orleans – À la recherche du temps perdu

L’hantologie, le terme est un peu pompeux, mais on aimerait qu’il soit disponible pour l’inaugurer avec le deuxième album d’Ela Orleans, tant il sied à merveille à Lost et à son peuple de fantômes. Depuis dix ans, cet étrange objet me fascine comme peu de disques ont su le faire. D’ailleurs, lorsqu’un disque évoque des … Continuer la lecture de « Ela Orleans – À la recherche du temps perdu »