Est-il possible de tomber amoureux deux fois de la même personne, à dix-sept années d’intervalle, sans même s’en apercevoir ? La chose est peu probable, à moins d’une déficience mémorielle dont l’absence de pathologie neurologique devrait pourtant me préserver. C’est pourtant bien ce qui s’est produit lorsque, il y a quelques mois à peine, j’ai recroisé la route du dénommé Marker Starling, musicien canadien de son état, et auteur de l’un des plus beaux albums qu’il m’ait été donné d’entendre depuis des lustres. Continuer la lecture de « Marker Starling : Travail d’amateur »