Edité dans la nuit du lundi 23 avril via bandcamp uniquement (et pour 1 euro non négociable, obole unique), L’Autre Jeu était annoncé par son auteur dès le mois d’octobre dernier : « Ce que je fais n’est pas vraiment de la chanson, ceci explique peut-être cela. Une formule parmi d’autres, valables aussi : le jeu normal, c’est se mesurer à l’autre; l’autre jeu, c’est se mesurer à soi. » Et les six titres de nous donner des nouvelles d’Arnaud Michniak (ex Diabologum), et de cette dimension infra de la réalité dont il semble être aujourd’hui l’unique habitant.
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Le bouleversant 
Il n’y a aucun plaisir à tirer de cet album. Aucune joie. Aucun contentement. Il n’y a rien à y faire, rien à y vivre, si ce n’est y errer sans but dans la tempête. Un très mauvais moment à passer seul, les yeux flasques et la gueule ouverte, pour mieux subir l’irrespirable odeur de décomposition qui s’en dégage. Dans le noir, évidemment. Qui voudrait contaminer le soleil d’un tel poison ?
On l’a vu
Stratocastors, le nom claquerait bien pour un groupe hommage à Eric « papa » Clapton et Mark « rasant » Knopfler. Nous imaginons déjà quatre fringants quinquas, fièrement équipés de Fender Strat’
En 2003, Josh Rouse, alors joli espoir indie sans trop d’envergure, avait réussi un coup de maître en signant l’une des œuvres les plus nostalgiques et élégantes de la décennie, le magnifique
Les petites maisons de disques indépendantes françaises auraient-elles trouvé une corne d’abondance de groupes en Australie ? Après