
Comme je l’ai déjà dit ici dans un article ou dans mon top 2017, ou là-bas, à quelques rares Français croisés à son live, pas loin du lavabo bleu ou dans l’affable fumoir tagué de l’International – les chansonnettes de Giorgio Poi, bricolées à la Mac DeMarco entre deux vaisselles et une machine à laver, font partie de celles qui revisitent et surtout revitalisent la « it-pop » ou, si l’on préfère, l’italo-indie. Continuer la lecture de « Giorgio Poi »


L’univers réserve parfois des connexions insoupçonnées, comme tomber sur un tweet d’un label espagnol que nous suivons à propos d’un groupe américain, sur lequel nous avons écrit il y a quelques années déjà. Merci donc aux Barcelonais de Discos de Kirlian de nous permettre de nous rappeler au bon souvenir des Yetis d’Allentown en Pennsylvanie. 

La trajectoire de
Depuis Los Angeles, cité des rêves déchus, épicentre de l’industrie du film et en partie de la musique, The Nerves n’auront, en quatre années d’existence (1974-1978), sorti qu’un unique EP 4 titres, auto-publié en 1976. S’ils n’ont guère laissé une discographie pléthorique, il serait cependant malheureux de s’en tenir à ce court curriculum vitae tant le groupe marqua les esprits, a posteriori de son existence.