
En 2018, le nom de Bernard Estardy (disparu en 2006) revient sur toutes les lèvres, comme à l’époque où l’on s’arrachait ses services d’ingénieur du son / arrangeur de génie. Remercions Born Bad et Gonzai d’avoir publié coup sur coup, à un mois d’intervalle, deux compilations qui permettent de remettre en lumière le génial talent de producteur du « Baron de Méhouilles », également surnommé le « Géant », titre du livre que lui a consacré sa fille Julie, à paraître en septembre. Continuer la lecture de « Bernard Estardy – Les formules magiques du Baron (1ère partie) »
La trajectoire de
Depuis Los Angeles, cité des rêves déchus, épicentre de l’industrie du film et en partie de la musique, The Nerves n’auront, en quatre années d’existence (1974-1978), sorti qu’un unique EP 4 titres, auto-publié en 1976. S’ils n’ont guère laissé une discographie pléthorique, il serait cependant malheureux de s’en tenir à ce court curriculum vitae tant le groupe marqua les esprits, a posteriori de son existence.
Tout est joué depuis bien longtemps, c’est entendu. Et alors ? Pour qui refuse de restreindre son inextinguible soif de découverte musicale dans un monde et une époque où l’inouï est en voie de disparition, les solutions ne sont pas nombreuses. En l’occurrence, il n’y en a probablement que deux – pas forcément incompatibles d’ailleurs : investir dans une énième réédition modérément augmentée de 
Day one. 