
Toujours, ces deux chansons ont formulé un surgissement. A Spasso et Ancora Tu. Deux étoiles gigantesques coincées dans une mappemonde décidément trop réduite. Elles venaient là, à traîner, magnifiquement leur mélancolie, leur paroi de calcaire glacée de mistral. Calcaire trop blanc, musique trop belle. Quel surgissement à chaque fois que ces deux chansons, avançant avec indolence, dans le R/O/C/K/Y de The Married Monk, formant comme une rêverie renouvelée. C’est un disque tavelé de rancœur, de douceur, de funambulisme et de mille autres aspects étincelants ou pas. Continuer la lecture de « Fabio V. »