
C’est un album qui, un quart de siècle après sa sortie, reste davantage que beaucoup d’autres attachés à la fois au contexte dans lequel on l’a entendu pour la première fois et à la réalité qu’il évoque. Un album qui condense encore mieux que la plupart de ceux qu’on a pu découvrir et apprécié à même période un temps provisoirement suspendu. Ces quelques années qui s’écoulent, entre la fin de l’adolescence et le début du véritable âge adulte, un peu différemment des autres : parfois plus vite, parfois plus lentement, au rythme des derniers flux et reflux de l’insouciance. Continuer la lecture de « Ivy – Appartement témoins »
Nombreux sont les artistes qui, après avoir réalisé un ou deux albums remarquables, ne tiennent pas la distance et, abandonnés par l’inspiration, perdent leur magie, tombant dans la banalité. 
Échappé des
Été 1966, quelque part en Californie, 
Les prénoms féminins et la musique pop (dans le sens très large du terme), ça a toujours fait bon ménage. Ou pas loin. J’ai déjà à peu près dressé une liste
Gémir n’est pas de mise aux Marquises.