« Le hard rock, c’est comme la Ligue Communiste Révolutionnaire. Ce qui est grave, ce n’est pas d’y passer, mais d’y rester. »
(Anonyme, Congrès de l’Hay-les-Roses, novembre 1979)
« She wears denim wherever she goes /
Says she’s gonna get some records by the Status Quo /
Oh yeah oh yeah »
(Teenage Fanclub, The Concept, novembre 1991)
Qui prétend qu’en mai 1980 je portais une veste à patchs ? Une Rica Lewis sans manches, délavée comme il faut, et constellée d’« écussons » – c’est ma mère qui coud, c’est ma mère qui cause. AC/DC, Judas Priest, Thin Lizzy, Rainbow et Trust – « L’élite est entrée sans préveniiiir !!», faudra ensuite s’échiner à la faire sortir fissa.
Eric frime, il est le seul à arborer un Motörhead grand format au dos de la sienne, ce qui lui permet à coups d’Umlaut de faire le malin en cours d’allemand. Parfois la Singer peine et cale. Faut finir le boulot à la main, on saisit l’intérêt du dé à coudre. Continuer la lecture de « #45+3 : Joy Division, Love Will Tear Us Apart vs. Girlschool, Nothing To Lose (Factory vs. Bronze, 1980) »