On peut pendant, longtemps, mal recevoir et mal traduire une livre, un film ou un disque. Un malentendu, comme l’on dit souvent. Notre époque n’en manque pas. C’était l’une des obsessions de Roberto Bolaño, régler son compte à toutes formes de langage « mauvais », ce langage articulé pour désinformer, pour créer le vide. L’auteur de 2666 s’est souvent amusé à reproduire une scène littéraire – celle que l’on peut discerner à chaque automne, ici, en France avec toujours les mêmes noms et visages – en y montrant toute la vanité de ces éternels ambitieux du moindre prix. Continuer la lecture de « Traiter du désespoir – Roberto Bolaño, The Flaming Lips et François Truffaut »
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Traiter du désespoir – Roberto Bolaño, The Flaming Lips et François Truffaut
Collage sauvage et de mauvaise foi de l’actualité culturelle de la semaine