Trouble & Ideal

Pour une programmation censée être faite à l’arrache — le festival s’est créé sous l’impulsion d’Étienne Blanchot suite à son départ lapidaire de Villette Sonique, on peut dire que c’est un coup de poing américain au nez de la morosité que le festival Ideal Trouble nous propose pour sa première édition. Vive, curieuse et bruyante, … Continuer la lecture de « Trouble & Ideal »

The Garden, Mirror Might Steal Your Charm (Epitaph)

Qu’il fasse sortir de votre bouche sèche un soupir de contentement ou une nausée incontrôlable, impossible d’enlever au troisième album de The Garden, Mirror Might Steal Your Charm, son étourdissante propension à provoquer des réactions aussi épidermiques qu’imprévisibles. Depuis haha en 2015 et la poignée de singles et EP’s qui l’ont suivi (dont le toujours … Continuer la lecture de « The Garden, Mirror Might Steal Your Charm (Epitaph) »

Luke Haines, Luke Haines Is Alive And Well And Living In Buenos Aires: Heavy Frenz The Solo Anthology 2001-2017 (Cherry Red/Import)

Luke Haines Is Dead titrait en 2005 la première compilation au long format consacrée essentiellement à la carrière fulgurante du britannique sous l’ère de The Auteurs.

Erlend Øye – Soleil froid

En duo dans Kings Of Convenience, les Simon & Garfunkel norvégiens du début des années 2000, ou en quatuor aux côtés de The Whitest Boy Alive, tout récemment séparés, Erlend Øye porte en lui depuis toujours le gène de la nonchalance et le goût du voyage. Bergen, Berlin, Manchester, Londres, et désormais Syracuse, il va … Continuer la lecture de « Erlend Øye – Soleil froid »

Lawrence Of Belgravia de Paul Kelly (2011, Heavenly Films)

« I live my life as if I was in a film, you could have been my co-star, oh what a thrill ! » Ça torturait Lawrence depuis un bout de temps. Ces mots sont tirés de la chanson I Talk With Robot Voice, extraite de l’album de Go-Kart Mozart, On The Hot Dog Streets, mais écrite … Continuer la lecture de « Lawrence Of Belgravia de Paul Kelly (2011, Heavenly Films) »