Les rêves lo-fi de Luke Lover

Tout premier disque désarmant pour l’allemand originaire de Constance

Luke Lover
Luke Lover / Photo : Lynn Gerstmair

Du côté de Constance en Allemagne, Lukas Stadler aka Luke Lover joue dans le groupe garage punk The Jimmy’s, et participe à l’aventure au Horst Klub, salle de concert-skatepark nichée au bord du lac de Constance côté Helvète. N’interrogez pas vos moteurs de recherche préférés, le voici avec une première cassette chez Hidden Bay records (un label toulousain que l’on aime beaucoup) et We don’t Make It Records, la maison Suisse de Romain Savary de Léopardo, dont on vous a également déjà parlé.

Lukas alterne entre pop à guitare claire et arty orientée Parquet Courts comme sur I Move On et Leicht, des enregistrements saturés et lo-fi qui tapent dans le rouge avec Luke Lover & For Me, ou encore des ballades souvent instrumentales, à la fois cosmiques et enfantines comme Weit Weg, Icht Angstlich et sous-marines sur Crab Sorrow, Ines.

Cette première sortie sous forme de collection de chansons est la résultante de plusieurs années d’expérimentations en solo à la maison, ou dans le local de répète. Il couche en musique ses sentiments et désirs sous forme de bilan de sa post adolescence, tantôt joyeux, tantôt mélancolique.

En exclusivité pour Section 26, l’écoute de l’album à paraître le 6 Mai.


L’album de Luke Lover est disponible via les bandcamp respectifs de Hidden Bay Records et We Don’t Make It Records.

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