
Pour qui aurait eu la très excusable négligence de manquer les deux épisodes précédents – Dear Hamlyn, 2008 et Passerby, 2014 – il faudra peut-être surmonter un premier mouvement de répulsion agacée avant de s’abandonner aux délices charmants de ce troisième plan Luluc. Comme en témoigne le portrait photographique qui orne la pochette de Sculptor, Zoé Randell et Steve Hassett bon nombre des attributs physiques et esthétiques qui tendent à opérer comme autant de chiffons rouges agités devant les yeux exorbités des pourfendeurs de hipsters brooklynites : la barbiche soigneusement ébouriffée de Monsieur, la blondeur évanescente pour Madame, la production signée par leur voisin de palier Aaron Dessner (The National). Continuer la lecture de « Luluc »
Sur les rares archives qui subsistent de ses 
L’anecdote provient en ligne directe de l’un des
Il est quelque fois rassurant de constater que le travail ingrat de fouilles archéologiques dans le lointain passé de la pop permet encore d’exhumer des pièces importantes d’un patrimoine musical négligé ou carrément inconnu. C’est le cas aujourd’hui avec cet album inédit de 

