Alors que le monde occidental vient de célébrer dans une liesse d’une droiture morale rarement atteinte depuis la libération le septante douzième anniversaire de Jonathan Richman (qui n’en a cure, car ayant toujours seize ans dans sa cabeza), je me suis souvenu, non sans émotion, d’un disque où figurait ce morceau, I’m The King Of Joy, qu’on peut décemment qualifier de « plus grand morceau de Jojo que Jonathan n’a pas écrit ». Or ce disque n’était pas The Man, improbable tentative solo du futur KLF Bill Drummond, mais bien une des innombrables compilations Creation qui sortaient naguère en rafale*. Complètement abasourdis par cette chanson intouchable, qu’on écoute derechef. Continuer la lecture de « Bill Drummond, The Man (Creation, 1986) »