« The best things in life are free / But you can give them to the birds and bees ». Même quand il ne circule plus, il continue de faire tourner les têtes et le monde. Le flouze, le grisbi, la maille, le bif. Les bourses chutent, la récession pointe, le virus décime, mais prenons garde à ce qu’il n’ait pas la peau de l’économie. La BCE peut bien injecter 750 milliards d’argent frais pour que le manège continue de tourner, à mon micro niveau l’équation est simple, la loi du marché devient un jeu d’enfant. Confiné, je ne gagne plus grand chose, mais confiné je dépense guère davantage (et je pourrai facilement atteindre l’équilibre si je levais le pied sur le Bourgogne). Au bout du compte, je trouve ça plutôt ça sain. J’envisage même de me remettre au troc. Je connais près de Nemours un type (un soit-disant proche de « Pristine » Christine Lagarde) qui n’a pas d’oursins dans les poches et qui est prêt à me céder deux caisses d’Aloxe-Corton 2015 en échange de ma copie near mint du premier single Sarah des Sea Urchins (et je n’ose pas vous avouer ce qu’il consentirait lâcher pour le Strike Up Matches d’Episode Four). Evidemment, tout ça n’engage que moi et je vous autorise à me chercher des poux ou m’agonir (soyez originaux sur les noms d’oiseaux, je vous rappelle que j’ai un gamin qui veut devenir ornithologue), à condition de laisser ce cher Henri Calet en dehors de tout ça. Continuer la lecture de « #11 : The Flying Lizards, Money (Virgin, 1979) »