On avait peu de nouvelles depuis ce qui paraissait des lustres de l’ami Pain-Noir, une grande chanson, des échos de déménagements, quelques mots de chaleur lors du premier confinement, ce moment que des majorités silencieuses ont dédié, comme souvent le font les majorités silencieuses, à la fraternité.
On a le droit d’aimer ces silences-là, apparents, calmes. Ça va bien avec l’idée que je me fais de Pain-Noir, peu de bruit et peu de fureur, mais des chansons qui de loin en loin, quand on s’y attend le moins, vous explosent en plein cœur.