On se sent bien peu de choses lorsqu’il s’agit d’écrire un texte d’introduction, aussi court soit-il, au sujet d’un garçon comme Philippe Azoury. Croisé autant très tard la nuit dans des lieux très bruyants que dans les colonnes de moult publications (peu importe le flacon) où il ébroue son amour du cinéma, entre relation complexe et possession viscérale, il publie aujourd’hui un livre sur Jean Eustache, réalisateur de l’intime qui réalisa un jour un film ultime, La Maman et la Putain. Ces trois cent pages essentielles publiées par Capricci nous ont évidemment donné envie de lui proposer de tracer le parcours musical qui l’a accompagné lors de son travail.