« Des regards tout mous de demi hommes, d’enfants de 30 ans, de demi hommes, pas comme les hommes d’avant, ceux dont on parlait dans les films »
Là où il semblait que son précédent effort Saint Guidon, paru en 2019, cherchait à arrondir les angles en trouvant une hypothétique et fantasmée voie de sortie vers une sorte de variété apaisée, La porte s’ouvre vers un territoire moins balisé et pas moins intéressant. Clairement défini par son introduction comme un disque de rupture amoureuse, il permet une catharsis âpre à son auteure qui – on s’en doutait – n’est pas là pour jouer les demoiselles en détresse. Continuer la lecture de « Charlene Darling, La porte (Disciples) »