Comme je l’ai déjà dit ici dans un article ou dans mon top 2017, ou là-bas, à quelques rares Français croisés à son live, pas loin du lavabo bleu ou dans l’affable fumoir tagué de l’International – les chansonnettes de Giorgio Poi, bricolées à la Mac DeMarco entre deux vaisselles et une machine à laver, font partie de celles qui revisitent et surtout revitalisent la « it-pop » ou, si l’on préfère, l’italo-indie. Continuer la lecture de « Giorgio Poi »