John Maus

Pendant les six années qui séparent l’interview et la chronique que nous proposons de (re)découvrir ci-dessous à l’occasion de ses concerts de la semaine à La Villette Sonique et au TINALS, John Maus n’a publié aucun disque. En ce qui nous concerne, entre We Must Become The Pitiless Censors Of Ourself (2011) et Screen Memories … Continuer la lecture de « John Maus »

Gary War, Gaz Forth (Feeding Tube Records)

En dépit de quelques beaux exemples, le succès d’Ariel Pink ne profite guère à ses vieux amis. Ces jours-ci, Julia Holter et John Maus font figure d’exception après quelques années d’indifférence – on ne cessera de rire en songeant à l’accueil de Songs en 2006 par les médias qui l’encensent aujourd’hui. Et pourtant, entre Norah … Continuer la lecture de « Gary War, Gaz Forth (Feeding Tube Records) »

S’engouffrer dans l’Elbrecht

Entre le Costa Rica, la Floride, New-York, la Californie et le Colorado, depuis presque 15 ans, avec un éclectisme remarquable, Jorge Elbrecht transforme  tout ce qu’il touche en autant de pierres et métaux précieux. Guitariste pour Ariel Pink, producteur amoureux des volutes pour Tamaryn, Drab Majesty, No Joy ou Frankie Rose (la liste est longue), … Continuer la lecture de « S’engouffrer dans l’Elbrecht »

Matt Fishbeck

Il y a peu de disques qui ont eu autant d’impact dans ma vie que Stranded at Two Harbors de Holy Shit. J’avais 17 ans quand il est sorti, 19 quand je l’ai découvert, en 2008 : souvent un âge charnière. Je ne connaissais pas bien Felt. Je n’avais jamais entendu parler de Sarah Records. … Continuer la lecture de « Matt Fishbeck »

Felt : une déclaration

Projet né de l’imagination d’un seul homme à la fin des années 1970, Felt reste une sorte d’OVNI dans l’histoire de la pop indépendante britannique. Entre autres raisons à cause de la légende qui voudrait que l’énigmatique Lawrence, qui rêvait de se faire un nom à partir de son seul prénom, ait planifié l’existence de … Continuer la lecture de « Felt : une déclaration »

John Maus, Screen Memories (Ribbon Music / Domino)

Dès les premières notes de Screen memories, quatrième album de John Maus, le synthétiseur analogique prend une fois encore toute sa place, et ce n’est pas anodin. Crée de toutes pièces par Maus, de la gravure du circuit à l’assemblage des pièces, il définit en grande partie son esthétique. Pour l’ancien clavier d’Animal Collective ou … Continuer la lecture de « John Maus, Screen Memories (Ribbon Music / Domino) »