The Cure, toute première fois

Le mardi 15 mai 1984, alors que la Curemania n’est pas encore-là, The Cure retrouvait le public parisien. Parmi les présents entassés dans un Zénith surbondé, certains allaient vivre leur première fois… “You’re the noisiest audience we’ve ever had” – “Vous êtes le public le plus bruyant qu’on n’ait jamais eu”, le temps d’une traduction … Continuer la lecture de « The Cure, toute première fois »

The Cure, Play For Today (The Swingin’Pig, 1990)

Simon Gallup a décidé de quitter The Cure, après plus de quarante ans passés aux côtés de son frère d’armes Robert Smith. On a beau savoir que tout finit par finir, on ne peut pas s’empêcher d’avoir le cœur serré. Le mythique bassiste était, selon les mots de Robert Smith, son « meilleur  ami » … Continuer la lecture de « The Cure, Play For Today (The Swingin’Pig, 1990) »

The Cure, Three Imaginary Boys (Fiction Records, réédition Polydor/Universal)

En 2005, la prestigieuse série de rééditions DeLuxe s’attaquait à la prestigieuse discographie d’un des groupes les plus importants de sa génération – voire même un peu plus que ça. La faute à un tracklisting légèrement bancal, Three Imaginery Boys (1979), sa pochette rose et son clin d’œil électroménager n’annonçaient pas complètement la décennie qui … Continuer la lecture de « The Cure, Three Imaginary Boys (Fiction Records, réédition Polydor/Universal) »

Richard Robert reprend “Just One Kiss” de The Cure (inédit)

Je ne sais plus quel artiste avait déclaré cela, mais c’était dans un vieux numéro des Inrockuptibles – la formule bimestrielle, je crois : pour résumer, il affirmait que les chansons réussies étaient celles que l’on pouvait jouer à l’aide d’une simple guitare acoustique, débarrassées des enluminures de la production, libérées des arrangements, toujours splendides … Continuer la lecture de « Richard Robert reprend “Just One Kiss” de The Cure (inédit) »

Richard Bellia et The Cure : « Garder la bonne distance »

Il a crapahuté par monts et par vaux, armé de la prunelle de ses yeux : son Hasselblad dont il ne se sépare (presque) jamais, sans compter sur d’autres appareils tout aussi précieux qui en ont certainement vu des vertes et des pas mûres. Richard Bellia a arpenté l’histoire du rock par la face nord à mains nues, … Continuer la lecture de « Richard Bellia et The Cure : « Garder la bonne distance » »